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Coronavirus - Même si c’est le vaccin qui les a tués, on nous dira qu’ils sont morts du covid (vidéo)

mercredi 28 avril 2021, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 28 avril 2021).

Et si on nous mentait ?
Et si c’était le vaccin qui les avait tués ?

Enregistré sur France 3 le 27 avril 2021 après 19h30

Cliquer ici pour télécharger la vidéo

AFP, 26 avril 2021 : Les deux patients, décédés au centre hospitalier de Cayenne, avaient reçu deux doses de Pfizer.

Note de do : On peut toujours me dire que l’on a détecté le coronavirus chez ces gens-là grâce à des tests, et que, donc, il n’y a pas de doute sur la cause du décès. Je répondrais aussitôt que le but du vaccin ARN de Pfizer ou Moderna étant de faire fabriquer par nos propres cellules la protéine Spike du coronavirus SARS-CoV-2, il est tout à fait normal de détecter le coronavirus chez les vaccinés.

Coronavirus : Deux personnes décédées en Guyane alors qu’elles avaient été vaccinées

https://www.20minutes.fr/societe/30…

Publié le 26/04/21 à 21h08
Mis à jour le 27/04/21 à 15h45

S.A. avec AFP

Les deux patients, décédés au centre hospitalier de Cayenne, avaient reçu deux doses de Pfizer

Deux personnes âgées de 53 et 68 ans sont décédées en Guyane d’une forme grave du Covid-19 « alors qu’elles avaient été vaccinées quelques semaines auparavant avec deux doses de Pfizer », a confirmé ce lundi l’agence régionale de santé (ARS).

Ces deux patients, deux hommes selon une source sanitaire, sont décédés au centre hospitalier de Cayenne. Ils avaient reçu leur deuxième injection du vaccin Pfizer/BioNTech fin février, précise l’ARS. « Ces deux personnes présentaient des antécédents de lourdes comorbidités et un état de très grande fragilité. L’une d’entre elles présentait un trouble du système immunitaire, susceptible d’occasionner une moindre réponse à la vaccination », précise l’ARS Guyane.

Un département fortement touché par le variant brésilien

Dans cette collectivité française d’Amérique du Sud considérablement exposée au variant brésilien, les « prélèvements sont en cours de séquençage pour connaître la souche exacte du virus en cause », indique encore l’ARS.

« L’échec vaccinal existe pour tous les types de vaccination. Cela dépend de l’état du système immunitaire de la personne vaccinée », a réagi le directeur de l’Institut Pasteur de la Guyane, le Dr Mirdad Kazanji, contacté par l’AFP.

Pour le praticien, « les gens vaccinés peuvent éventuellement avoir des virus qui se développent au niveau des voies respiratoires et, éventuellement, en contaminer d’autres » en cas de système immunitaire « fragilisé » et de « gros facteurs de comorbidités ». « Mais dans la majeure partie des cas, la vaccination diminue drastiquement le nombre d’hospitalisations et de cas graves », souligne-t-il, redoutant que ce double cas « ralentisse la campagne de vaccination en Guyane ».

« Au début de la troisième vague »

Le virologue déplore par ailleurs qu’on « laisse le virus circuler » en Guyane alors que le territoire n’en est « qu’au début de la troisième vague : les écoles sont ouvertes, les restaurants sont ouverts, dans les quartiers désormais je suis sûr que les personnes ne respectent ni le port du masque, ni la distanciation… »

En Guyane, dans les villes les plus touchées, le couvre-feu est instauré de 19h à 5h en semaine et de 19h le samedi à 5h le lundi. La vaccination y est désormais ouverte à partir de 18 ans dans un climat de défiance qui reste majoritaire. Au 18 avril, 2,5 % de la population guyanaise avaient reçu deux doses, soit 7.314 personnes sur environ 300.000 habitants, et 5,5 % avaient reçu une dose.

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