Ce que nous enseigne la dialectique, c’est que dans le processus banco-centraliste global la plus-value encore créée est à la fois peanuts et peanut, c’est-à-dire presque rien et la graine qui permet encore à la spéculation de germer…
Néanmoins, la conclusion qui s’impose, pour Big Pharma comme pour la plupart des processus productifs, et surtout, tous ceux qui se déroulent à l’échelle mondialisée, c’est bien que le cycle de reproduction du capital fixe est l’élément dominant de leur survie, et que ce cycle dépend entièrement de la dette banco-centralisée, même si elle passe encore, provisoirement, par le truchement des marchés financiers et de leurs opérations spéculatives.
A terme, et principalement avec l’imposition des monnaies numériques directement banco-centralisées, le contrôle, à la fois des populations (« crédit social à la chinoise ») et des monopoles, sera effectif directement depuis les Banques Centrales. Les « marchés financiers », s’ils existent encore, à ce stade, ne seront plus qu’une forme résiduelle, comme le sont aujourd’hui les vestiges du capitalisme « classique » !
Le capitalisme, pour Marx, c’est l’élargissement du capital par le processus industriel productif de plus-value.
Actuellement, on a un processus d’élargissement basé essentiellement sur l’élargissement de la dette banco-centralisée, et du cycle du capital fictif et du capital fixe, stérile en termes de plus-value.
Libre à tous les pseudos-"marxistes" d’appeler cela du capitalisme, mais cela est donc sans rapport avec la définition de Marx !!!