En Suisse, c’est pas mieux. Alors que la première décision du Conseil Fédéral fut, du jamais vu en matière de santé publique, d’interdire aux médecins de pratiquer sauf "cas d’urgence" (c’est ainsi qu’ils appellent les malheureux qui, faute de soins précoces, développent des complications et en meurent", la gauche reste tout entière unie derrière son ministre de l’eugénisme, un socialiste comme dans nazi.
Quand aux antifas, au lieu de balancer des pavés dans les vitrines des pharmas et des centres de test, ils n’ont rien de mieux à faire que de reproduire les articles du Blick qui assimilent celles et ceux (...)