Il reste en lice deux candidats de droite, dont l’un, Macron, est très nettement le favori de la finance mondialisée et banco-centraliste.
L’autre, la Le Pen, n’étant là que pour servir de repoussoir électoral, afin d’assurer la victoire de Macron.
En toute logique, et comme en 2017, il est probable que d’ici le jour du vote elle commette un "faux pas", en fait calculé, ou une pseudo-"gaffe", de façon à remplir correctement sa mission de faire-valoir.
… Surtout si les sondages réels sont bien réellement "serrés" !
Les chances qu’elle soit réellement élue sont donc à peu près nulles. S’abstenir, c’est (...)