Les limites de la matérialité des choses sont déterminées par celles de nos possibilités de perception. Les mécanismes de la pensée ne peuvent pas différer dans leur principe des mécanismes de la formation de la matière, les données matière-perception-pensée sont interdépendantes et ne peuvent exister l’une sans l’autre. Elles sont en fait indissociables et coordonnées et représentent les divers aspects d’une même force créatrice.