La réélection du chef de l’Etat sortant Milos Zeman, admirateur fervent de Vladimir Poutine, confirme l’influence de Moscou dans le débat politique tchèque. A Bruxelles lundi, le premier ministre Andrej Babis s’est néanmoins montré rassurant.
Cliquer ici pour l’article et les commentaires
Ce forum est modéré à priori : votre contribution n'apparaîtra qu'après avoir été validée par un administrateur du site.
(Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.)
Veuillez laisser ce champ vide :
Controle anti-spam : saisissez les caractères suivants 0528