C’est déjà arrivé lors du mouvement des Gilets Jaunes, mais très rapidement une lutte s’est développée entre les gens de gauche et les mouvements d’extrême-droite.
Il y a eu donc une démarcation presque immédiate entre les mots d’ordre de l’extrême droite et ceux des gens de gauche.
La participation de l’extrême-droite a été facilité par la démission de la grande majorité des syndicats et partis de gauche (sauf la FI et Mélenchon) qui a laissé sans cadres ni orientations un mouvement que par sa nature ne pouvait qu’aller à gauche.
Mais la question n’est pas "marcher à côté ou pas" mais marcher sous quels mots (...)