Dans l’ensemble, Asselineau fait de bonnes analyses mais il s’arrête donc au milieu du gué, au lieu d’aller jusqu’au bout et d’en tirer toutes les conséquences.
La raison en est probablement qu’il a fait du frexit son "cheval de bataille" sur le plan idéologique, au départ de sa démarche politique, et qu’il n’entend pas en changer en cours de route, par une sorte d’atavisme conservateur propre à tout groupe constitué sur un présupposé idéologique.
Or, même s’il a lieu dans un avenir difficile à déterminer avec précision, le frexit n’est tout au plus qu’un moment assez bref dans une transition politique dont (...)