La différence entre 68 et aujourd’hui réside dans la mondialisation. Le fonctionnement monétaire du capitalisme est devenu une arnaque globale contre les peuples, à l’intérieur de laquelle les impérialistes se livrent à une concurrence acharnée et sans merci, en dehors d’une solidarité contre-révolutionnaire telle qu’on la voit aujourd’hui à Jérusalem et à Gaza.
Le premier qui baisse sa garde contre son peuple, contre son prolétariat, en lâchant du lest social ou autre, celui-là se trouve handicapé dans cette lutte et écrasé par les autres. Aucune bourgeoisie ne veut se trouver dans cette situation. Macron (...)