Salut Robert
Franchement je ne vois pas beaucoup de différence entre ton propos :
« la hausse du chômage et la baisse du pouvoir d’achat du prolétariat ne font pas partie de ses intérêts [à la bourgeoisie], ni même de ses préoccupations, quoique les riches n’ont pas d’aversion particulière contre les travailleurs salariés, et s’ils pouvaient les avantager ils le feraient comme ils l’ont fait dans le passé »
Et ceux de Robert Gil.
Il me paraît évident, au contraire de ce que tu dis, que la bourgeoisie veut une hausse du chômage quand elle a peur des grèves ; et qu’elle veut une baisse du pouvoir d’achat (...)