Je ne pense pas que le capital puisse "redevenir keynésien" sans perspectives de développement considérable à plus ou moins long terme.
Actuellement, il n’y a pas de telles perspectives, sauf par une destruction massive de forces productives déjà existantes…
De plus, avec les progrès de l’automatisation et de la robotique, les besoins en main d’œuvre sont de plus en plus réduits, surtout en comparaison de la période 45-47.
Et de toutes façons, la guerre commerciale internationale actuelle, protectionnisme ou pas, interdit pratiquement à un groupe de capitalistes de "lâcher du lest", sérieusement, sur (...)