28 août 2018 : Une décision qui semblait devenue inévitable : pratiquement dès sa nomination, des écologistes avaient critiqué la présence de Nicolas Hulot au gouvernement vu la politique du gouvernement, notamment en ce qui concerne le nucléaire. "Je me surprends tous les jours à me résigner, à m’accommoder de petits pas", a ajouté l’ex-présentateur d’"Ushuaïa", espérant que sa démission pourrait provoquer un "sursaut".
Note de do :
Nicolas Hulot n’avait pas su choisir en 2007 entre le Sarkonazi et la ségolène, rien que ça prouve qu’il n’était pas dans le camp du prolétariat. Et en plus, il a été chez Macron qui est encore pire que Sarko ! Donc c’est une ordure !
Par ailleurs, il prétendait à la fois vouloir réduire à 50%, en 2025, la part du nucléaire dans l’électricité, et vouloir que toutes les bagnoles soient électriques. S’il n’a pas vu la contradiction, c’est qu’il con !