En 1875, les trois quarts de l’humanité étaient encore dans un état de sous-développement chronique. Un développement rapide des forces productives était donc encore nécessaire. On ne voit donc pas pourquoi Marx aurait prôné d’y mettre un frein, ni à court terme, ni dans le programme communiste.
Ceci-dit, la question de la finitude des ressources n’était pas absente de ses préoccupation (*). Simplement, ce n’était pas l’urgence du moment, d’une part, et d’autre part il manquait évidemment de données statistiques pour l’évaluer correctement.
Il n’y avait donc pas de raison sérieuse, à l’époque, de douter que (...)