Continuer à parler de la France, l’Allemagne, les USA, la Chine, en tant que personne, ne fait que jouer le jeu des « sales capitalistes », parce que cela permet d’une part de faire s’entretuer les prolétaires de ces pays pour réguler leur population et d’autre part, les détourner de la lutte des classes, qui, par définition, ne connaît pas de frontières.
Bref, c’est continuer à se laisser manipuler comme en 14, 40 et en fait, comme pour quasiment toutes les guerres.
Aussi, l’Europe capitaliste n’est ni pro ou anti américain ou russe, elle est seulement, par définition, anticommuniste. Dites, vous en (...)