« Réécrivons citoyennement la constitution ». De loin l’approche la plus positive que nous ayons vu, mais qui à notre sens ne pourrait fonctionner qu’en tant que texte fondateur d’une confédération de communes libres.
Sans abandonner l’État, coercitif et anti-réformiste par essence et par construction, une telle initiative est vouée à l’échec, car l’État ne validera jamais une réécriture citoyenne de la constitution (NdJBL : ou le RIC), c’est l’évidence même.
Il faut d’abord sortir de l’État, et pour ce faire une seule solution : le détruire, car il ne laissera rien lui faire de l’ombre…
N’oublions jamais que l’État n’est que l’outil coercitif de la bourgeosie, qui avec le temps est devenu le gardien du statu quo.