Une brillante analyse mais qui est totalement hors contexte et en devient réformiste. Le contexte d’aujourd’hui est que la civilisation industrielle de consommation, d’exploitation et de destruction de masse a déjà exterminé 60% du vivant et que le rythme de cette solution finale appliquée au vivant s’accélère avec chaque nouvelle technologie. Il est que la civilisation industrielle, comme les autres civilisations suprématistes qui l’ont précédée, est non réformable. Il est que nous sommes face à un choix : soit continuer avec ce mode de vie, son progrès mortifère, sa monnaie et son travail obligatoire, et (...)