Un Jour, en 1973, des contestataires avait fait sauter un pont pour défendre le Larzac. Un journaliste demanda aux contestataires pourquoi ils étaient si violents. Ceux-ci firent remarquer alors qu’ils n’avaient ni tué ni blessé personne. Leur action avait donc été non-violente : « C’est de la non-violence dure ! » expliquèrent-ils.