En deux mots, il ne s’agit pas ici de « pacifisme », ce qui serait évidemment une soumission à l’ordre établi et à ses forces de répression, mais bien d’organiser une résistance rationnelle et une contre-offensive qui n’entraîne pas seulement les éléments déjà actifs, « gauche du PS » ou autres, mais la grande masse des prolétaires, à commencer par ceux qui sont dans les 70% de salariés qui bossent dans les TPE-PME, et qui n’ont généralement pas de syndicats, mais sont souvent parmi les plus démunis, néanmoins.
Du mouvement GJ ils n’ont guère, pour la plupart, que l’image que leur en donne le « 20h »…
Le SMIC à (...)