Le préfet Didier Lallement a rapidement répliqué sur le compte Twitter de la préfecture : les forces de l’ordre "ont correctement fait leur travail" lors d’une "manifestation non déclarée, sur un axe interdit par arrêté préfectoral et après sommations". "Je les soutiens totalement", écrit-il.
Des propos jugés "scandaleux" par Loïc Prud’homme.
Dans la foulée, La France Insoumise a affirmé dans un communiqué que Loïc Prud’homme avait été matraqué "en toute impunité" par "des policiers" alors qu’il "partait pacifiquement de la manifestation". "Ils l’ont fait consciemment après avoir reconnu la fonction de Loïc", ont-il dénoncé. "Frapper un député symbolise la dérive autoritaire actuelle". "Nous demandons immédiatement la démission de M. Castaner, ainsi que des excuses et l’ouverture d’une enquête de l’IGPN"