Hors de question de s’aligner sur la croisade sécuritaire des gouvernants, des médias dominants et de la flicaille, qui a battu les records au lendemain de l’acte XVIII des Gilets jaunes. De joindre nos voix aux déplorations sur « les saccages et les pillages » qui ont terni l’image de « la plus belle avenue du monde ». Et de répercuter les appels des fondés de pouvoir du capital et de leurs laquais à une répression accrue, voire une interdiction pure et simple du mouvement des gilets jaunes.
Il va falloir que la gauche soi-disant « radicale » sache dans quel camp elle se range. Celui des (...)