J’appelle tous ceux qui croient ou font semblant de croire que faire la révolution, c’est brûler une poubelle ou briser une vitrine à repenser leurs actions et leur discours. Que les choses soient claires, je ne pleure pas sur la vitrine d’une banque, mais pour sortir de ce bourbier marchand, il nous faut être nombreux, très nombreux dans l’action, et si la violence doit éclater, elle doit être du fait de de la multitude, et non de groupes ultra minoritaires à l’idéologie avant gardiste. Ceux la seront les fossoyeurs d’un mouvement qui promettait dans ses balbutiements. Faisons confiance au peuple ou (...)