… sans compter que fin 1986, son pote Pandraud a dit à propos de Malik Oussekine (tué par les "voltigeurs", les flics à moto) que s’il avait la santé fragile, il n’avait qu’à ne pas sortir.
Comme quoi, en 23 ans, le vocabulaire des assassins officiels n’a pas trop varié…
Mr Pasqua, deux fois ministre de l’Intérieur, et par la suite impliqué dans divers trafics en Afrique (drogue au Maroc et armes en Angola) avait été vice-président de la milice nommée le Service d’Action Civique (barbouzes) de 1962 à 1969 (au moins) selon son propre aveu, organisme dirigé par un certain Jacques Foccart, également "Monsieur (...)