Le mouvement des Gilets Jaunes illustre parfaitement les limites du dogme de l’action politique non-violente face à un pouvoir dictatorial qui ne recule devant rien pour le réprimer. De plus, après avoir bien commencé, il a abandonné sa seule arme non-violente efficace quand il s’est acoquiné avec les syndicats briseurs de grève et a signé ainsi son arrêt de mort. Une grève d’un jour, non mais tu rigoles, autant se faire hara-kiri.