Le réseau est en piteux état, les disputes régionales pour les ressources fluviales ne sont pas réglées et le réchauffement climatique fait de plus en plus sentir son effet dévastateur.
La croissance démographique pèse de plus en plus sur les ressources en eau : d’ici 2030, l’Irak pourrait compter 50 millions d’habitants, 10 millions de plus qu’aujourd’hui.