Les autorités allemandes ont interdit au journaliste palestinien-canadien Khaled Barakat de prendre la parole lors d’un meeting à Berlin de solidarité avec la Palestine, affirmant que ses discours « antisémites » constituaient une menace pour l’ordre public et pourraient nuire aux relations entre le pays et Israël.
Le militant s’est vu interdire d’assister à de futurs événements politiques et a été menacé d’un an de prison, ce qui constitue un autre succès pour le lobby israélien qui cherche à réprimer toute critique à l’étranger.
Note de do : La classe dominante allemande est restée nazie, c’est pourquoi elle prend la défense du sionisme. Voir encadrés tout en bas de l’article.