Changer la manière dont nous utilisons les terres est indispensable pour contenir les changements climatiques, alerte un nouveau rapport du GIEC. Il va notamment falloir revoir notre alimentation.
Le problème, d’après le GIEC, c’est que l’homme exploite trop intensivement les ressources des sols. Les experts estiment qu’environ un quart des terres libres de glace sont surexploitées. L’agriculture intensive, en particulier, est montrée du doigt. « L’usage de fertilisants minéraux et le labour profond ont en effet entraîné une baisse de la quantité de matière organique dans les sols de l’ordre de 60 à 70% au niveau mondial », souligne Pascal Boivin, professeur d’agronomie à la Haute école du paysage, d’ingénierie et d’architecture de Genève (HEPIA). C’est justement dans cette matière organique que se trouve le carbone prélevé dans l’atmosphère par les plantes.
Note 1 de do : Le point aveugle de ce rapport du GIEC est l’énorme surpopulation sur Terre. Qu’ils ne comptent pas sur moi pour me priver de viande sous prétexte que des imbéciles se sont reproduits comme des lapins malgré ce que leur disaient les écolos du début des années 1970 : Des gosses, j’en ai fait aucun !
Note 2 de do : Dès le début des années 1970, les écolos disaient que pour travailler la terre de façon écologique, il ne fallait la travailler que sur 5 cm d’épaisseur.