Le pays devient un paradis fiscal. Il est mis sur la liste noire du Groupe d’action financière. Il compte à l’époque 400 banques fantômes (shell banks) domiciliées à Nauru. Le pays vend aussi des passeports au prix fort, un trafic qui aurait rapporté 7,4 millions de dollars au pays. Ces affaires conduisent même les États-Unis à qualifier le pays d’État voyou. En janvier 2016, le Nauru figure sur la liste française des paradis fiscaux. Il perd toute crédibilité auprès de États du monde entier… sauf d’un, celui en cours d’édification en Palestine occupée.