Hongkong vivait lundi de nouvelles turbulences après un week-end marqué par des violences parmi les plus graves depuis le début du mouvement de contestation il y a trois mois. Les autorités de l’ancienne colonie britannique ont autorisé deux nouvelles manifestations, alors que plusieurs mouvements d’opposition ont appelé à un boycott des cours dans les universités et à la grève générale, mais celle-ci ne semblait pas avoir pris en milieu de journée.