Du point de vue des gens initiés à la géostratégie, Annie Lacroix-Riz a sans aucun doute raison, mais du point de vue des simples prolétaires de l’époque, l’arrêt du Blitzkrieg aux portes de Moscou était certainement la première lueur d’espoir bien réelle qu’ils ont pu apercevoir, pour ceux qui ont pu avoir l’info, du moins… Mais c’était donc déjà au moins le cas de tous les Russes qui se trouvaient hors des zones occupées.
C’est donc le cas où vos deux points de vue ne sont pas exclusifs l’un de l’autre, à mon sens.
L’essentiel restant d’en tirer les conséquences politiques d’un point de vue prolétarien. (...)