Nous voulons de l’argent pour la santé, l’école, l’université, la formation, l’emploi, la culture, la protection de l’environnement.
Le temps est venu de faire payer ceux qui, grâce à un système fondé sur le confessionnalisme politique, pillent et appauvrissent le peuple. C’est pour ce temps-là que nous sommes dans la rue.