Enregistré sur France 3 le 25 novembre 2019 après 19h30
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Moins de 20 jours après une première immolation par le feu d’un jeune en détresse, en voici un deuxième qui s’immole aussi. À quand le troisième ?
Cette fois, c’est une jeune fille. "Ils" ont tenté de faire croire que si elle s’était immolée c’était uniquement parce qu’elle avait des problèmes psychologique. Il n’empêche qu’en peu de temps, cela fait deux étudiants qui s’immolent sur leur lieu de travail ou au CROUS. Nier les problèmes liés aux études serait un mensonge, et même un crime.
Car pousser les jeunes dans un tel désespoir qu’ils en viennent à se suicider est un CRIME. Et, un suicide par immolation est un suicide qui dit quelque chose, c’est un suicide qui accuse.