S’il est plus facile pour le capitalisme de recruter ses sbires dans les couches les plus pauvres de la population, cela ne signifie en rien que la plupart des plus pauvres acceptent ce marché.
D’autant que le phénomène de prolétarisation s’accompagne bien sûr d’un mouvement de sous-prolétarisation. Beaucoup de sous-prolétaires, sinon la plupart, ont été auparavant des prolétaires, ou des enfants de prolétaires, et s’en souviennent… et en conséquence refusent de trahir.
Salut,
do (...)