« Quelque part au Rojava. A ma droite se trouve le général légendaire Mazlum Abdi Kobane. Il est commandant en chef des Forces démocratiques syriennes. Et il a le grand honneur d’être l’ennemi numéro un d’Erdogan », a écrit Levy sur son compte Twitter.
Le terme Rojava désigne le « Kurdistan syrien », une région située dans le nord et le nord-est de la Syrie, couvrant les trois régions d’Afrine, de Kobané (ou Aïn Arab en arabe) et la Djézireh.
Avec l’aide des Etats-Unis, avec lesquels ils ont combattu Daech, les milices kurdes syriennes occupent désormais une importante superficie du nord-est syrien, presque le quart de la Syrie.
BHL s’est fait le chantre de la cause kurde au Moyen-Orient, non pas pour des causes humanitaires mais pour mieux promouvoir les divisions au sein de cette région. Dans son discours, lorsqu’il parle des Kurdes, ses incitations antiturques sont flagrantes. Le projet Rojava devrait aussi diviser la Syrie. Une politique qui sert à merveille les intérêts de l’entité sioniste.