J’espère vivre assez longtemps pour pouvoir vivre assez longtemps pour voir au moins le début de l’effondrement de la société industrielle de consommation, d’exploitation et de destruction de masse. Ce ne sera pas une consolation, seulement une justice méritée pour un mode de vie qui n’est pas capable de respecter les limites que lui fixe la nature, sa seule source de vie.
Et non, je n’oublie pas la lutte des classes. J’essaie simplement de la mettre dans son contexte d’aujourd’hui, autant factuel que scientifique. Les ethnologues et les anthropologues nous apprennent que notre rapport avec la nature (...)