L’article parle expressément de l’échec du mouvement GJ, malgré ses quelques qualités.
Cet échec signifie donc logiquement que les défauts l’ont emporté sur les qualités.
Une logique qui vous échappe ???
Votre expérience concrète semble pourtant, telle que vous la décrivez, assez semblable à celle de Roanne.
Ceci dit, à Lyon, où les anars et les gauchistes sont majoritaires, le résultat final n’est pas différent.
Le problème réside donc bien dans l’absence de perspective politique alternative qui soit capable de répondre aux besoins sociaux réels et aux revendications concrètes urgentes qui sont donc (...)