Le mieux serait donc de numériser systématiquement un maximum d’archives pour les rendre accessibles aux autodidactes et au grand public des curieux d’histoire…
L’accès direct aux originaux est nécessairement à restreindre aux professionnels compétents, si ’on ne veut pas qu’ils se trouvent ravagés par un usage intensif.
Il faut donc bien déterminer des critères adéquates de professionnalisme et d’objectivité, et/ou de pluralisme.
Une démarche "anti-autoritaire" systématique est donc parfaitement stérile et inadaptée à ce genre de problématique. Carrément puérile, sur ce type de problématique. Des "pros" (...)