Le coronavirus fait 1% de morts parmi les gens dont on sait qu’ils sont atteints (d’après la chaine 2 de la télévision, ce 23 février 2020 au 20 heures). Et il y a certainement bien plus de personnes atteintes que ce que l’on en sait.
Le coronavirus survit au maximum 3 heures à l’air libre, alors que le virus de la grippe A (H1N1) de 2009 peut survivre de 8 à 48 heures à l’air libre, selon la nature de la surface sur laquelle il repose (wikipedia)
Le coronavirus est donc comme une sale variété de grippe, mais pas plus.
Pourtant, le battage médiatique est immense. Chaque cas de cette super-grippe est traité par les médias comme si on s’approchait un peu plus de la fin du monde. Même dans les pays où il n’y a aucun cas.
L’intoxication mentale au coronavirus sert à prouver que l’État est indispensable.
C’est bien plus efficace que la manipulation du terrorisme par le pouvoir, dont on commence à être un peu trop habitué. Nous avons développé des anticorps contre le terrorisme d’état sous faux drapeau, pas encore contre les intoxications mentales du style coronavirus.