Reuters le 28 juillet 2017 : Souvent dépeint par ses détracteurs comme ultra-libéral, Emmanuel Macron défend une ligne économique "pragmatique", dépourvue de "totems", qui déroute les milieux libéraux dont les espoirs de voir se tourner une nouvelle page en matière de doctrine économique en France s’amenuisent.
"Pincez-moi, une nationalisation !", titre vendredi 28 juillet 2017 L’Opinion, au lendemain de l’annonce que l’Etat exerçait son droit de préemption sur les chantiers navals STX de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) aux dépens de l’Italien Fincantieri.
De quoi tordre le cou à l’image de politique "libéral" qui est accolée au chef de l’Etat par ses opposants, en raison de son passé de banquier d’affaires chez Rothschild.
Note de do : N’oublions pas que d’après ses anciens employeurs de chez Rothschild, Macron est un excellent négociateur, et que la version officielle que l’on nous a donné dans un premier temps de la nationalisation de STX, c’est qu’elle était temporaire et destinée seulement à faire du chantage au groupe privé italien Fincantieri. Donc : pas de joie prématurée !