Les résultats d’autopsie d’Aaron Hernandez — le joueur de football américain de 27 ans au corps recouvert de tatouages — prouvent qu’il souffrait d’encéphalopathie traumatique chronique (ETC), à un stade très avancé : le niveau 3 sur une échelle de 4. De quoi relancer les soupçons de cause à effet entre sa dégénérescence cérébrale, résultat des chocs crâniens endurés lors de sa carrière de footballeur, et son comportement de meurtrier suivi d’un suicide. Une affaire ultrasensible, qui agite le monde des sports aux Etats-Unis.