Il y a maintenant un an s’échappait opportunément un coronavirus de type SRAS-CoV-2 concocté dans un laboratoire militaire chinois à sécurité maximum (c’est du moins l’hypothèse privilégiée dans les milieux de l’espionnage). Depuis, la communauté internationale, celle de gauche comme celle de droite, a eu largement le temps de faire son lit et d’élever la voix au milieu de ce qui est devenu la pire crise sanitaire, politique, juridique et économique des temps modernes.