Il y en a qui reçoivent des menaces pour moins que ça. J’ai eu un voisin journaliste. Trop dégoutté de ne pas pouvoir faire son travail même pour la première chaîne de la radio de service publique suisse, il s’était recyclé dans la photocomposition. Un de ses anciens collèges avaient voulu écrire un livre sur tous les trafics de drogue qu’il pouvait documenter en Suisse. Son livre aurait fait sauter 60% de la classe politico-économique suisse et aurait provoqué des répercussions internationales sur toute la planète. Le watergate puissance 2 au moins. Les services secrets suisses lui ont fait comprendre (...)