Aujourd’hui, comme au lendemain de la grande grève du 3 Octobre, il faut éviter de confondre la solidarité contre la répression, qui entraine avec elle une partie importante du prolétariat, et un éventuel "soutien majoritaire" à la cause indépendantiste.
Soutien auquel les responsables de ce mouvement ne croient eux-même visiblement plus…
Essayant de sauver,d’une part, leur propre personne, sur le plan juridique, en reconnaissant de fait la prééminence intacte de l’État espagnol, et de l’autre, leurs strapontins électoraux dans le futur "parlement catalan", à nouveau inféodé au royaume et renégociant, (...)