Mais le projet de Biomap est le seul à « utiliser une stratégie par voie nasale avec des protéines et pas des virus atténués, ce qui limite fortement les risques de réactions adverses »,
Il s’agirait d’une « plus-value vis-à-vis des vaccins actuels, qui protègent, mais ne garantissent pas la non-contagiosité. De fait, pour un retour à la vie sans geste barrière et sans masque, les vaccins actuels ne sont pas suffisants » prévient le chargé de recherche.