12 mai 2003

 

Jusqu'à quand les Américains vont-ils continuer à nous mener en bateau ? 

 

Quand aura-t'on le courage de dénoncer ce qui s'est vraiment passé le 11 septembre, qui fût le prétexte au plus grand putsch de ce siècle naissant, opérant une razzia sur la liberté d'expression cautionnée (voire reprise) par des gouvernements qui ont profité de ces actes pour renforcer leur système sécuritaire et fermé les yeux sur une foule de détails — qui font froid dans le dos — afin de ne pas s'attirer les foudres des Américains ?

Il n'est pas nécessaire d'avoir fait l'école de la Magistrature pour tirer des conclusions de ces faits (même de certaines déclarations laconiques ou embryonnaires telles que les Américains ont consenti à nous donner).

Les raisons qui ont poussé les Américains à commettre des attentats contre eux-mêmes sont multiples :

— Formidable écran de fumée pour noyer les scandales de l'élection truquée de Bush, celui d'Enron, et aussi celui du trafic de drogue qu'ils organisent eux-mêmes.

— Avoir un motif pour aller guerroyer au Moyen-Orient en nous racontant des bobards plus gros les uns que les autres (pour mémoire les "preuves" données par Powell au Conseil de Sécurité qui nous auraient bien fait rire si le sujet n'était pas si grave) afin d'asseoir leur main-mise sur la région et son pétrole, et de préparer le terrain pour aider les Israéliens à liquider la question Palestinienne — quoique ceci ne soit pas gagné.

— Instaurer un régime dictatorial au sein des Etats-Unis, en se dotant de tous les outils de répression pour faire taire toute opposition, voire toute vélléité de révélation de ce qui s'est passé le 11 septembre.

— Préparer les prochaines élections de 2004 en jouant sur la terreur, en mettant la société Américaine dans un état de paranoïa extrême qui ne cessera que le jour où les faits seront révélés et où les Américains sauront vraiment qui sont leurs gouvernants.

 

Les faits maintenant. Pris séparément, ils peuvent paraître non révélateurs voire anodins, mais une fois imbriqués tout s'éclaire. Je m'étonne même que le journalisme dit "d'investigation" n'ait pas enquêté sur la chose, ou si peu. L'idée d'utiliser des avions de ligne pour les faire s'écraser sur des cibles civiles n'est pas nouvelle. Elle date du début des années 60 et semble avoir été soumise à Kennedy pour forcer l'opinion publique Américaine à être d'accord sur le fait qu'il fallait envahir Cuba. Kennedy a dit non. Il en est mort.

 

Les faits, donc, en dix points :

1.) Impossibilité de réaliser ces attentats sans le consentement ou pire la complicité des plus hautes instances Américaines : la Maison Blanche, le Pentagone et la CIA.

Le pays le mieux équipé au monde en matière de surveillance aérienne se serait donc laissé avoir comme un enfant de 5 ans en laissant passer ces 4 vols détournés, ne prenant pas la peine de faire décoller le moindre avion pendant plus d'une heure après que le premier détournement fût connu du NORAD. Les procédures d'interception sont réglées au quart de poil et exécutées quotidiennement ou presque (pas uniquement pour les détournements mais pour les avions simplement déroutés — le plus souvent à cause d'erreurs de pilotage ou de conditions météo)

2.) Etrange explosion filmée par CNN au pied de l'immeuble n°7 de Wall Street quelques instants avant l'écroulement des tours. Il se trouve que cet immeuble s'est écroulé un peu plus tard, et qu'il abritait des bureaux de la CIA. Aurait-on "fait le ménage" pour se débarrasser de documents ou de témoins qui auraient pu s'avérer gênants ?

3.) Impossibilité physique de l'écroulement des tours tels qu'ils se sont produits sans une "aide" extérieure. La théorie officielle est démontée point par point par des architectes. Les tours auraient en fait été dynamitées pour atterrir bien gentiment là où "on" voulait qu'elles tombent, et pas ailleurs.

4.) Enquête express.  Il a fallu moins de 12 heures pour déterminer avec précision les auteurs présumés des attentats. Performance herculéenne dans un pays paralysé — plus aucun avion n'ayant décollé pendant plusieurs jours et ce peu après le 2ème crash, vers 9H. Les vidéos compromettant Ben Laden ne sont arrivées que plusieurs jours plus tard (dont la seule qui identifiait indiscutablement celui-ci n'a jamais été rendue publique). Après avoir roupillé pendant les quelques heures qu'ont duré les 4 attentats, les services de renseignement se sont soudain transformés en modèles d'efficacité. Et d'où provenaient les indices les plus importants prouvant l'identité des auteurs (parmi tous les groupes terroristes du monde qui auraient pu perpétrer les attentats) ? De deux coups de fil donnés par Barbara Olson, femme de Ted Olson, un officiel Américain, lui décrivant les pirates de l'air comme étant arabes. Elle se trouvait à bord du vol 77 qui s'est (d'après eux) écrasé sur le Pentagone. Non seulement les coups de fil sont sujets à caution (techniquement car — dixit son mari — elle a téléphoné depuis un appareil interne, situé à côté des sièges, or ceux-ci n'ont qu'un circuit interne, non relié au réseau extérieur, ne permettant que des appels d'un siège à l'autre) mais d'après elle les pirates les ont amenés à l'arrière de l'avion en compagnie du pilote. Sympas les pirates, de ne pas avoir zigouillé le pilote tout de suite, et d'avoir laissé Mme Olson téléphoner à son mari (2 fois). Dernière chose, le mari, apprenant cela, au lieu de foncer au Pentagone pour avoir des infos sur le déroulement des choses et la santé de sa femme, ne trouve rien de mieux que de prévenir.. CNN, d'un "détail" concernant à ce moment la sécurité du territoire, et donc classé secret défense.

5.) Comment un avion de 38 mètres d'envergure a-t'il fait pour ne provoquer qu'une brèche d'une quinzaine de mètres sur la façade du Pentagone ?  (Cette analyse a déjà été menée par Thierry Meyssan dans "L'effroyable imposture"). La photo publiée par le Pentagone montrant des premiers soins prodigués à une victime sur la pelouse à plusieurs centaines de mètres de l'impact n'est qu'une mauvaise mise en scène, et montre bien la volonté des gouvernants Américains de nous faire prendre des vessies pour des lanternes.

6.) Les assertions du clan Bush affirmant que celui-ci n'a aucun lien avec la famille d'Ossama Ben Laden sont un tissu de mensonges. Ils bossent ensemble dans le pétrole depuis les années 1980, et ont des parts dans le groupe Carlyle (par ailleurs non coté en bourse, ce qui évite qu'on mette le nez dans leurs affaires). Qui plus est O. Ben Laden a travaillé pour le compte de la CIA pendant plusieurs années, alors que les Américains voulaient sortir les Russes d'Afghanistan. Les Talibans ne sont rien d'autre qu'une création Américaine.

7.) La gaffe de Bush lors d'une conférence en Floride au mois de décembre 2001, qui prétend avoir vu le premier crash en direct à la télévision, alors qu'il se préparait à visiter une école primaire et qu'il attendait dans un couloir de cette école. Or ces images n'ont été diffusées que bien plus tard, en provenance de vidéos-amateurs, aucune caméra de CNN, Fox News ou de quiconque n'étant présente à ce moment sur les lieux. Accessoirement, sa réflexion : "Mais l'idée m'a passé rapidement, je n'avais pas assez de temps pour penser à cela" après avoir vu ces images montre qu'il est soit incompétent pour assumer de telles fonctions, soit pire encore qu'il était au courant que ces événements allaient se produire.

8.) Le vol 93 qui s'est tombé en Pennsylvanie se serait écrasé, d'après la version officielle, après une lutte acharnée entre les passagers et les pirates. Bien que cette version semble bancale ne serait-ce qu'à cause de l'impossibilité pour un groupe de passagers de s'acharner sur une porte dans un couloir de 75 centimètres de large, et du fait que des pirates déterminés et résignés à mourir (au nombre de 4) se seraient fait déborder et auraient laissé les passagers envahir le poste de pilotage, provoquant une cohue qui a fini par faire s'écraser l'avion. Bon. Admettons quand même, bien que cela ressemble plus à un mauvais film qu'à une quelconque réalité. Par contre, là où ça coince, c'est que la version officielle prétend que les forces aériennes n'ont pas abattu l'avion. Or des débris du vol 93 ont été retrouvés sur une quinzaine de kilomètres, dont un réacteur à plusieurs kilomètres du lieu du crash. Cela prouve donc bien que l'avion a explosé, au moins en partie, en vol. Alors pourquoi la version officielle ne fait-elle pas mention de ce fait ? Et que dire de l'avion "blanc et silencieux" qui a été vu par des gens habitant près du lieu du crash quelques secondes après celui-ci, alors que le FBI a prétendu qu'aucun avion de l'USAF ne se trouvait dans les parages à ce moment, déclaration revue un peu plus tard à la baisse, disant qu'un C 130 se trouvait à une trentaine de kilomètres, mais que celui-ci n'était équipé d'aucune arme - alors que le même agent du FBI ajoute naïvement qu'il ne savait pas d'où venait et où allait le C 130. Ca sent le mensonge à plein nez, encore une fois.

9.) Un trou de 3 minutes dans la bande magnétique qui a enregistré l'héroïque charge des passagers. L'avion s'est écrasé officiellement à 10H06, la bande s'arrête à 10H03. 3 minutes, c'est plus qu'il n'en faut à un avion type C 130 pour parcourir les 30 kilomètres cités par l'agent du FBI au point 8. Mais alors pourquoi cacher le fait qu'il ont abattu l'appareil ? Après tout cela aurait pu sembler légitime de sacrifier les passagers du vol pour éviter un quatrième crash sur un objectif civil (ou militaire). Non, les officiels ont nié en bloc cette version des faits. Pour cacher le fait qu'il l'ont abattu avec une arme "secrète" à micro-ondes, qui commence à ressembler à un secret de polichinelle ?  Pour se garder une image intacte, préférant passer pour des incompétents ?

10.) Les attaques à l'anthrax qui ont suivi les attentats ne sont pas dues à des terroristes, du moins pas arabes, mais par un (ex?)-membre de la CIA. Ce fait est relaté par Barbara Rosenberg, directeur de la Federation des Scientistes Américains. La qualité de l'anthrax et sont taux de pureté et de concentration montre qu'il n'a pu être élaboré que dans un laboratoire extrêmement performant, du type de ceux dont dispose la CIA. Le coupable court toujours..

 

Je pense qu'une information sérieuse, et notamment envers les Américains eux-mêmes, est indispensable si l'on veut empêcher la réélection de Bush, et de probables nouvelles guerres. Le formidable choc provoqué par ces événements a mis les Etats-Unis dans un tel état qu'ils auront sûrement beaucoup de mal à accepter la vérité, mais si on y arrive, ce sera sûrement la plus grande révolution de tous les temps.

La sanction que je préconise à l'encontre des Etats-Unis fera peut-être rire tant elle est improbable, mais qu'importe la voici : Pendant 20 ans, les Etats-Unis devront dépenser, chaque année,  autant qu'ils ont dépensé en moyenne par an en matière d'armement durant les 5 dernières années, dans les domaines suivants :

— Lutte contre la famine dans les pays du Tiers-Monde

— Règlement du problème de l'eau, de l'hygiène, et de la mortalité due à la précarité des conditions de vie dans ces mêmes pays.

— L'application de ces mesures se fera sous une stricte surveillance d'organismes tels que l'ONU, l'UNICEF et la Croix-Rouge, et toute ONG qui en manifestera la volonté.

D'autre part, et pour finir, les Etats-Unis devront réduire de moitié leur niveau global de consommation (pour mémoire, si on considère le niveau moyen de consommation des pays sous-développés comme étant égal à 1, celui des Etats-Unis est de 8, celui de l'Europe de 4 — en moyenne sur tous les états de l'Europe), et des 4/5 le niveau actuel de génération de produits polluants, et ce le plus tôt possible, c'est-à-dire immédiatement.

P.S. : Je tiens à la disposition de qui le voudra l'ensemble du dossier. Celui-ci étant très volumineux, je ne veux pas encombrer vos emails sans votre consentement.

Merci de votre attention.

Didier


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