Grève générale sauvage totale et illimitée contre la répression !
Tout le monde déteste de plus en plus la police !
Bonjour à toutes et à tous,
Une très violente charge policière, menée à l’aide avec de véhicules de police, de lacrymogène, puis de coups de matraque pour empêcher des manifestants contre la loi Travail d’accéder à la rocade de Rennes, a fait plusieurs blessés. Des journalistes ont également reçu des coups de matraque.
Cinq étudiants opposés à la loi travail ont été pris en charge aux urgences pour des coups de matraque, et un cinquième va rester en observation pour la nuit. Plusieurs journalistes ont aussi reçu des coups de matraque.
La police charge la foule
"Je me suis pris un coup de matraque sur la tête. Heureusement que j’avais un casque sinon je serais à l’hôpital. Sur mon casque est bien écrit ’Presse’, donc c’était tout à fait délibéré", assure Vincent Feuray, photographe indépendant, qui a assisté ensuite à des coups portés sur d’autres confrères vidéastes. Un journaliste de France 3 Bretagne a également rapporté avoir été victime de "violences policières" ainsi qu’un reporter de l’agence Taranis News.
Cette charge de police ultraviolente a eu lieu vers 15 heures : environ cinq camionnettes de flics ont roulé en direction des manifestants, sans ralentir, pour les disperser. Les flics ont alors ouvert les vitres des véhicules pour vaporiser au passage de grandes quantités de gaz lacrymogène et de bombes au poivre sur les manifestants. Les véhicules ne se sont arrêtés qu’après avoir traversé la foule, afin de la matraquer.
Bien à vous,
do
http://mai68.org/spip
APPEL À LA GRÈVE GÉNÉRALE SAUVAGE TOTALE ET ILLIMITÉE :
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QU’EST-CE QU’UNE COORDINATION ?
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Faire circuler rapidement
Rennes : une violente charge policère fait plusieurs blessés
http://www.msn.com/fr-fr/actualite/…
3 juin 2016
Les policiers ont utilisé une bombe au poivre depuis leur véhicule pour disperser la foule/ DAMIEN MEYER
Une violente charge policière, menée à l’aide avec des véhicules de police, des lacrymogènes, puis de coups de matraque pour empêcher des manifestants contre la loi Travail d’accéder à la rocade de Rennes, a fait plusieurs blessés. Selon l’AFP, des journalistes ont également reçu des coups de matraque.
Une charge policière, menée à l’aide notamment de véhicules de police, de lacrymogènes, puis de coups de matraque pour empêcher des manifestants contre la loi travail d’accéder à la rocade de Rennes, a fait plusieurs blessés.
Selon les informations obtenues auprès des étudiants opposés à la loi travail, cinq d’entre eux ont été pris en charge aux urgences pour des coups de matraque, et un cinquième va rester en observation pour la nuit. Plusieurs journalistes ont aussi reçu des coups de matraque, a constaté l’Agence France presse.
La police charge la foule
"Je me suis pris un coup de matraque sur la tête. Heureusement que j’avais un casque sinon je serais à l’hôpital. Sur mon casque est bien écrit ’Presse’, donc c’était tout à fait délibéré", assure Vincent Feuray, photographe indépendant, qui a assisté ensuite à des coups portés sur d’autres confrères vidéastes. Un journaliste de France 3 Bretagne a également rapporté avoir été victime de "violences policières" ainsi qu’un reporter de l’agence Taranis News.
La situation a dégénéré alors que la manifestation "officielle" contre la loi Travail s’était terminée sans incident notable devant la préfecture en début d’après-midi. Plusieurs centaines de manifestants ont cependant continué à défiler en se dirigeant vers la rocade de Rennes.
C’est à ce moment qu’une charge a eu lieu, vers 15 heures : environ cinq camionnettes de la police ont roulé en direction des manifestants, sans ralentir, pour les disperser. Les policiers ont alors ouvert les vitres des véhicules pour vaporiser au passage de grandes quantités de gaz lacrymogène et de bombe au poivre sur les manifestants. Les véhicules ne se sont arrêtés qu’après avoir traversé la foule.
Dans une conférence de presse donnée en fin d’après-midi, le préfet de région, Christophe Mirmand, a déclaré que "s’il y a eu des violences je ne peux que le déplorer et le regretter", avant d’appeler les journalistes à tenir compte "des conditions difficiles dans lesquelles les fonctionnaires de police" travaillent.
Selon la préfecture interrogée par l’AFP, "les forces de l’ordre sont intervenues pour empêcher les manifestants d’accéder à la rocade". "Les 20 policiers de la brigade d’intervention ont doublé les manifestants pour bloquer" leur avancée, a contesté la préfecture. Après quoi, assure la préfecture, les manifestants ont été repoussés "manu militari".
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