VIVE LA RÉVOLUTION
Accueil du site > Comment publier un article > La Suisse gouverne le monde avec l’argent des terroristes

La Suisse gouverne le monde avec l’argent des terroristes

vendredi 24 juin 2016, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 24 juin 2016).

La Suisse qui n’appartient pas à l’Union Européenne,

mais qui contrôle les changes ainsi que l’or des banques du monde entier, grâce à la BRI,

qui est la banque centrale des banques centrales, qui gouverne les banques centrales de 60 pays, située en Suisse (la Bâle) et peut s’engager sur du long terme à déterminer les conditions économiques de tout pays.

Ainsi le destin économique de tout pays du monde dépend de la Suisse !

La Suisse, si bonne élève du FMI, qui augmente sa contribution au Fonds monétaire international

au cas où le FMI ne pourrait plus faire face à ses besoins avec seulement ses fonds ordinaires. https://fr.wikinews.org/wiki/La_Sui…

Le FMI donne une bonne note à la Suisse http://www.bilan.ch/economie/le-fmi…

Mais d’où la Suisse tient-elle tout cet argent ?

Réponse de Swissleaks :

  • Des comptes de ceux qui pillent toutes les richesses de l’Afrique à feu et à sang (les dirigeants corrompus et qui sont soutenus par la France « 22 présidents africains assassinés par la France depuis 1963 » http://sanslimitesn.com/revelation-…)
  • Des comptes de ceux qui vendent de la drogue Captagon pour tuer sans peur (les terroristes)

« Le Captagon, drogue euphorisante, voire déshumanisante, apparaît être de plus en plus utilisée dans les rangs des jihadistes et des candidats aux attentats-suicides »http://www.titrespresse.com/article…)

« Un cachet de Captagon coûte quelques centimes d’euros à la fabrication.

Une drogue bon marché qui provoque "une sorte d’euphorie" comme l’expliquait Ramzi Haddad, psychiatre, à l’agence de presse Reuters l’été dernier.

Une euphorie factice qui expliquerait comment des hommes peuvent commettre de tels actes sans ciller.

Autre avantage tactique pour les commanditaire de ces attentats, et qui leur assure des soldats toujours plus "performants", le Captagon supprime la faim et la fatigue.

Ces effets sont le résultat d’un mélange de substances puissantes. La fénéthylline, une molécule amphétaminique, est associée à de la caféine pour un résultat qui décuple les capacités du sujet en stimulant sa production de dopamine.

Cette drogue a notamment été trouvée dans l’organisme du terroriste qui avait attaqué un hôtel à Sousse (Tunisie) en juin dernier. L’attaque avait fait 38 morts et 39 blessés avant que l’assaillant ne soit abattu par la police.

Utilisé par les djihadistes pour décupler leur énergie, le Captagon est aussi un business juteux pour Daesh qui a relancé sa production. La fabrication de Captagon ne coûte presque rien alors que son prix de vente, lui, a considérablement augmenté.

Ainsi, Europe 1 estime qu’un sac de 200.000 pilules ne coûte que quelques milliers d’euros à produire, alors qu’il se revend plus d’un million d’euros. Une manne d’argent pour l’organisation terroriste » Source http://www.bfmtv.com/international/…

Le lanceur d’alerte (informaticien ex-salarié de la banque HSBC Hervé Falciani) a été arrêté à Barcelone en 2012 pour vol de données par la justice suisse.

« Le fameux secret bancaire suisse était bel et bien une aubaine pour les bailleurs de fonds des réseaux terroristes, les trafiquants de tout bord et les évadés fiscaux, selon une vaste enquête menée dans plus de 40 pays par quelque 154 journalistes.

Baptisée « SwissLeaks », cette investigation a révélé que des dizaines de milliards d’euros détenus par des financiers du terrorisme, des trafiquants de drogue et d’armes ou encore des évadés fiscaux, parmi lesquels des dirigeants de pays africains, ont transité par les coffres de la filiale suisse de la banque britannique HSBC Suisse.

Selon le quotidien français Le Monde, HSBC Private Bank « a accepté, voire encouragé, une  gigantesque fraude à l’échelle internationale  » portant, pendant la seule période de novembre 2006 à mars 2007, sur la somme de «  180,6 milliards d’euros qui auraient transité, à Genève, par les comptes de plus de 100 000 clients et de 20 000 sociétés offshore ».

D’après les révélations issues de 59802 fichiers de la banque HSBC, dérobés par l’informaticien Hervé Falciani et passés au crible par des dizaines de médias à travers le monde, ces fonds étaient cachés entre autres derrière des structures offshore au Panama et dans les îles vierges britanniques.

Les fichiers consultés par les rédactions contiennent les bases de données clients (noms, dates de naissance, numéros de passeport, etc.), les notes des banquiers et les numéros IBAN des comptes, des mouvements bancaires, notamment. Selon les différents médias, il n’y a aucun doute sur leur authenticité.

On trouve notamment dans ces fichiers des Saoudiens suspectés d’avoir financé Oussama ben Laden dans les années 2000, des barons de la drogue ainsi que des trafiquants impliqués dans les ventes d’armes et le commerce illicite de diamants, d’après les enquêtes des journalistes.

HSBC a admis des « défaillances » au niveau de sa filiale suisse.

« HSBC Private Bank a accueilli un certain nombre de clients qui n’étaient pas entièrement en règle avec leurs obligations fiscales », a précisé la banque dans les colonnes du Matin Dimanche.

Sur son site, Le Monde a aussi publié une réponse de HSBC qui dit reconnaître les « manquements passés » mais avoir « pris depuis plusieurs années de nombreuses initiatives pour empêcher l’utilisation de ses services à des fins d’évasion fiscale ou de blanchiment d’argent ».

« HSBC Private Bank a continué d’offrir des services à des clients qui avaient été cités défavorablement par les Nations Unies, dans des documents légaux et dans les médias pour leur lien avec le trafic d’armes, les diamants de guerre ou la corruption », martèle cependant le consortium international des journalistes d’investigation qui a mené l’enquête.

Ex-salarié de HSBC, Hervé Falciani avait dérobé ces fichiers confidentiels pour les transmettre aux autorités fiscales françaises.

 Cet informaticien a été inculpé en 2009 de vol de données par la justice suisse, qui a lancé contre lui un mandat d’arrêt international. Hervé Falciani a été arrêté à Barcelone en 2012, mais Berne attend toujours son extradition.

http://www.agenceecofin.com/banque/…

La Banque des règlements internationaux (BRI), (Bank for International Settlements en anglais ou BIS) a été créée en 1930.

C’est la plus ancienne organisation financière internationale. Son statut juridique est celui d’une société anonyme, dont les actionnaires sont des banques centrales.

Elle est située à Bâle en Suisse, et surnommée la « banque centrale des banques centrales »

Le capital de la BRI est composé d’actions appartenant, depuis le dernier élargissement de 2011, à 60 banques centrales7, les institutions et personnes privées en étant exclues depuis 2000.Ce capital est divisé en 600 000 actions, dont la moitié appartiennent aux banques centrales d’Allemagne,

d’Angleterre,

de Belgique,

de France,

d’Italie et des États-Unis d’Amérique, Ou tout autre établissement financier de ce dernier État.Ce sont les gouverneurs de ces six banques centrales qui se partagent la direction de la BRI, avec les gouverneurs des banques centrales du : Canada,

de Chine,

du Japon,

du Mexique,

des Pays-Bas,

de Suède et de Suisse, et le président de la Banque centrale européenne. En 2006, son actif est évalué à 221 milliards de USD. La BRI a pour fonctions :

d’assister les banques centrales dans leur poursuite de la stabilité monétaire et financière ;

d’accueillir la coopération internationale dans ces domaines ;

d’agir en tant que banque des banques centrales.

La réunion bimestrielle du conseil d’administration, où se rencontrent les gouverneurs des grandes banques centrales, permet ainsi une coordination informelle des politiques monétaires des grands pays.

Elle héberge différents comités traitant des grands sujets financiers : Comité de Bâle sur le contrôle bancaire, Committee on the global financial system, Committee on payment and settlement systems.

Elle prépare par exemple des accords au niveau du comité de Bâle qui précisent un certain nombre de règles prudentielles (ratio de solvabilité, etc.) applicables à l’ensemble des banques commerciales de la planète :

les Accords de Bâle, dont les derniers, les accords de Bâle III.

Enfin, la BRI centralise la collecte et assure la publication de nombreuses données statistiques6 sur l’activité bancaire et les marchés financiers.

En contrôlant les changes ainsi que l’or, la BRI peut s’engager sur du long terme à déterminer les conditions économiques de tout pays.

Rappelez-vous que la prochaine fois que Ben Bernanke (NdT:patron de la Réserve Fédérale américaine) ou le président de la BCE annoncent un hausse des intérêts, vous pouvez parier que cela ne s’est pas fait sans l’accord du bureau de la BRI. Ces dernières années, il est devenu de plus en plus évident qu’elle possède véritablement le pouvoir. Quand Barack Obama parle, les marchés bougent en général très peu.

Quand Ben Bernake parle, les marchés répondent souvent avec de vastes mouvements. Un article récent publié sur CNBC et intitulé : ““Central Banks : How They Are Ruling the Financial World ” détaillait l’impact énorme qu’ont eu les banques centrales sur le système financier mondial en 2012… En tout, 13 autres banques centrales dans le monde ont suivi la Fed et ramené leur taux d’intérêt très proche de zéro dans un effort de conserver les liquidités et de doper leurs économie malades. Ces 14 économies représentent un incroyable 65 000 milliards de dollars en obligations de capitalisation de marché et d’équités combinés d’après Bank of America Merrill Lynch.

Au bout du compte, la façon dont vous ressentirez la BRI ne sera que le reflet de ce que vous ressentirez pour une monnaie unique. La banque fut un participant important de la création de l’Euro comme la monnaie commune de l’Europe.

Il y a des rumeurs que le prochain projet est de persuader les Etats-Unis, le Canada et le Mexique de passer à une monnaie régionale similaire, qui sera peut-être appelée “l’Amero” et il est logique d’assumer que le but ultime de la banque est une monnaie unique mondiale. Ceci simplifierait les transactions et solidifierait vraiment le contrôle des banques sur l’économie planétaire.

Mais si les Etats-Unis abandonnaient un jour le dollar, ceci constituerait une gifle majeure à notre souveraineté nationale.

Quand quelqu’un d’autre contrôle votre monnaie, il importe peu qui fait les lois. (NdT : Ceci est pourtant déjà en cours aux Etats-Unis puisque la Banque de la Réserve Fédérale est un cartel de banques privées transnational, la monnaie bidon qu’est le dollar US est déjà contrôlé par les banques transnationales depuis 1913…)

Malheureusement, l’élite mondialiste semble être absolument obsédée par l’idée d’une monnaie unique mondiale, un système économique unique mondial et un gouvernement mondial le régissant.

http://www.eveil-delaconscience.com…

La Suisse et l’ONU organisent une conférence internationale sur la prévention de l’extrémisme violent à Genève

https://www.news.admin.ch/message/i… GENÈVE, 11 septembre 2013 – Le Groupe de la Banque mondiale et la Direction suisse du développement et de la coopération (DDC) ont dressé aujourd’hui un bilan de leur collaboration pour la mise en place de l’Alliance mondiale pour le savoir sur les migrations et le développement – Global Knowledge Partnership on Migration and Development (KNOMAD) – qui se veut un centre mondial de connaissances et d’expertise politique sur les questions de développement et de migration.

Les deux institutions ont collaboré à la création de KNOMAD, une initiative lancée par le Groupe de la Banque mondiale en 2011. La DDC, principal bailleur du projet, lui a consacré 5 millions de francs suisses (environ 5,3 millions de dollars).

http://www.banquemondiale.org/fr/ne…

SPIP | squelette | | Plan du site | Suivre la vie du site RSS 2.0