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L’ONU dirigé par la Chine annonce le remplacement de la viande par les insectes

mercredi 10 août 2016, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 10 août 2016).

Réponse de do :

L’ONU n’est évidemment pas dirigée par la Chine !

Et en Chine on ne mange pas que des insectes, on mange de la viande !

C’est le capitalisme qui veut nous supprimer la viande, pas la Chine ! Et le capitalisme a été inventé en Occident, pas en Chine !


Ca y est l’ONU l’a annoncé en 2013, maintenant, on va bouffer des insectes à la place de la viande pour lutter contre l’effet de serre.

http://www.sciencesetavenir.fr/natu…

D’ici 2020 tout le monde aura des insectes dans son assiette à la place de la viande. Les cantines françaises (voir plus bas de l’article) commencent à introduire les insectes dans les menus.

Consommer des insectes pourrait contribuer à la réduction de l’effet de serre

http://www.scidev.net/afrique-sub-s…

On se demande si cette décision a une relation avec le fait qu’en 2013 aussi, coincidence, M Li Yong de nationalité chinoise a été nommé comme directeur général de l’ Organisation des Nations Unies pour le Développement industriel

« Des usines d’insectes pour nourrir les chinois »

http://www.lemonde.fr/planete/artic…

Lors d’une interview le professeur Marcel Dicke de Wageningen University affirme : "la chose la plus importante est de préparer les gens à cette idée.

En effet avant 2020, il n’auront plus beaucoup le choix." Il veut persuader les gens d’abandonner leurs préjugés et persuader des fabricants et des fournisseurs d’inventer les produits attractifs qui pourront être vendus plus facilement. Dicke est à la tête d’un programme qui cherche à produire un plan de développement scientifique pour apporter des insectes aux tables occidentales.

http://entomophagietpe.blogspot.fr/…

L’organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel (ONUDI) est l’agence spécialisée de la famille des Nations Unies en charge de la promotion du développement industriel dans les pays en développement et les économies en transition, pour la réduction de la pauvreté et le développement durable.

http://www.delegfrance-onu-vienne.o…

La Chine s’est déjà préparé en tout cas pour être le leader mondial en production d’insectes.

Créé en 2009, médiatisé par le Monde en 2012, Une entreprise chinoise a déjà 7 brevets acquis sur 7 espèces d’insectes.

http://www.lemonde.fr/planete/artic…

Et la Chine a acheté Syngenta qui a des actions sur Oxitec, une entreprise qui s’occupe des insectes génétiquement modifiés.

https://fr.sputniknews.com/sci_tech…

Maintenant que la Chine via Syngenta a des actions sur Oxitec, les insectes génétiquement modifiés iront bon train.

« GeneWatch Royaume-Uni a écrit à la Commission européenne pour dénoncer le rôle qu’Oxitec et Syngenta, le géant mondial des pesticides, jouent dans la rédaction des nouvelles règles, et pour poser la question de la compétence qu’a l’EFSA pour rédiger des lignes de conduite sur des problèmes qui ne sont pas de son domaine [4]. Syngenta a financé Oxitec pour développer des ravageurs agricoles GM et la majorité des cadres et des membres du conseil d’administration d’Oxitec sont des anciens de Syngenta »

http://www.amisdelaterre.org/Des-mi…

Donc insectes biologiques ou insectes génétiquement modifiés au choix et avec brevets, la Chine est déjà prête à monopoliser le marché sur les insectes.

Et à interdire progressivement la viande sous prétexte de lutter contre l’effet de serre.

Avec l’accord de la directrice de l’OMS (organisation mondial de la santé) qui en depuis 2006 est également une chinoise Magaret Chan

http://www.who.int/dg/fr/

« En mai 2011, M. Rémy Pagani, le maire de Genève, faisait remarquer à Mme Margaret Chan, directrice générale de l’OMS, que si son organisation persistait dans son rôle de subordination à l’Agence internationale de l’énergie atomique – dont une partie du mandat est la promotion de l’utilisation de l’atome – elle serait totalement discréditée.

Malgré une large reconnaissance des ses liens malsains avec le lobby nucléaire, l’OMS poursuit sa complicité criminelle en dissimulant les conséquences sanitaires des activités nucléaires. Aujourd’hui, l’abdication de l’OMS face à ses responsabilités dans le domaine des radiations et de la santé est totale – tout comme son discrédit. »

http://independentwho.org/fr/2013/0…

Si les gouvernements veulent implanter l’entomophagie dans les mentalités européennes, il doivent lancer un effet de mode comme pour les sushis. Il faut aussi que les gens connaissent les nombreux avantages de leur consommation. Il faut donc développer la publicité entomologique.

http://entomophagietpe.blogspot.fr/…

Cependant, d’ici quelques années, la consommation d’insectes pourrait devenir une alternative intéressante face au manque de viandes animales.

Dans la décennie à venir, l’insecte pourrait bien devenir le " number-one" des aliments dans nos assiettes mais demande un investissement des gouvernements afin de contrer ce dégoût et faire connaître le coté positif des insectes aux populations !

http://entomophagietpe.blogspot.fr/…

Article datant de 2012, première publicité entomologique (consommation d’insectes) par le Journal Le Monde en prenant l’exemple d’un entrepreneur en Chine leader d’insectes sur le marché :

la compagnie de Li Jinsui a été créé en 2009 et mène le marché en livrant 150 kilos d’insectes par jour

http://bigthink.com/ideafeed/pass-m…

« Des usines d’insectes pour nourrir les Chinois

Li Jinsui ne manque pas d’ambition. Il fait fièrement visiter l’usine d’insectes pour laquelle il a déposé sept brevets et investi l’équivalent de 250 000 euros de sa poche.

Son entreprise, Yunnan Insect Biotechnologies, propose larves séchées, poudre de protéine extraite d’exosquelettes d’insectes et insectes en entier, le tout destiné à la consommation humaine et animale. Li Jinsui, un précurseur ? Fort probable. De plus en plus d’experts de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) voient dans le développement de l’entomophagie un substitut à la viande ou au poisson. Et une alimentation meilleur marché pour les élevages animaliers, notamment les fermes aquacoles.

Li Jinsui, lui, se félicite que les habitants de ces régions reculées perpétuent les traditions, mais il pense qu’il est grand temps pour la Chine de passer à la production d’insectes à échelle industrielle. Plus de 200 espèces sont comestibles, or seule une poignée peut être élevée à l’échelle familiale. Et les dénicher en milieu sauvage requiert une importante main-d’oeuvre.

Ne reste donc qu’à ouvrir des usines et développer de nouveaux procédés techniques, ce qu’il continuera de faire sur les 27 hectares de terrain qu’il a acquis. Si la consommation d’insectes venait un jour à se banaliser, il pense avoir ses chances de devenir le leader mondial sur ce marché, avec à la clé 60 % de retour sur investissement.

Les qualités nutritionnelles – protéines, minéraux, etc. – des insectes sont importantes. Qui plus est, ils présentent un bien meilleur rendement que le bétail traditionnel. Ils ont également besoin de beaucoup moins d’eau. Actuellement, 70 % environ des terres arables et 9 % de l’eau douce sont consacrés à l’élevage, responsable en outre de 18 % des émissions de gaz à effet de serre.

PÉNURIE DE PROTÉINES EN CHINE

M. Li a travaillé douze ans pour lancer son usine. Il est à l’avant-garde d’une industrie chinoise balbutiante et a reçu l’aval des autorités locales. "Le marché est prêt", dit-il. "Il y a pénurie de protéines dans le pays. Il faut en passer par l’importation de poissons du Chili ou du Pérou, explique cet homme de 45 ans. Et pour les humains, le savoir manque sur le potentiel des insectes comme source de nutrition."

Ses recherches l’ont conduit à se focaliser sur une espèce : la mouche. "C’est la clé", lance-t-il. Elle est particulièrement répandue, pas nocive pour son environnement, comestible par l’homme et l’animal et peut même servir dans l’industrie pharmaceutique. Sa chitine, composant principal de la carapace des crustacés et des arthropodes, renforce ainsi les défenses immunitaires.

Li Jinsui n’est pas le seul à avoir fait tous ces calculs. Il a des concurrents, , par exemple dans la province du Shandong, à 2 000 kilomètres au nord-est.

Mais il prend un malin plaisir à expliquer pourquoi ces éleveurs d’insectes ne parviendront pas à produire à plus grande échelle si un marché de masse apparaît : "D’un point de vue technologique, ils vivent encore dans les années 1970, ils ne produisent que 50 à 100 kg par jour, ils seront incapables de passer à la vitesse supérieure."

Pour le moment, M. Li dit pouvoir livrer quotidiennement 150 kg de vers de mouche, mais il promet que la "phase 3" du développement de l’usine l’amènera à 10 tonnes chaque jour, dès 2015, car tout ce qu’il vend est acheté d’emblée, précise-t-il, en entrant dans une pièce où volent deux millions de mouches.

Reste toutefois à peaufiner ses recherches et à parvenir à nourrir les mouches de son de riz et non de déjections animales, comme c’est le cas à présent, ce qui les rend impropres à la consommation humaine.

Il faudra par ailleurs réussir à convaincre le consommateur de déguster ces repas qui inspirent jusqu’à maintenant plus de dégoût que d’envie. Si les palais chinois semblent se faire aux vers de bambou, c’est loin d’être le cas pour les larves. "Les voir dans son assiette suscite une réticence psychologique difficile à dépasser", reconnaît M. Li. Comment la combattre ? Il faut investir dans l’éducation et convaincre de la valeur nutritionnelle des insectes ; "c’est un travail ardu, mais nous devons nous en charger", ajoute l’entrepreneur.

L’utilisation des insectes relève des traditions culinaires dans cette province peuplée de minorités. Sur le marché de Mangshi, une ville modeste à deux heures de route de la frontière birmane, on vend toujours des nids de guêpes, à 160 yuans la livre (20 euros). L’acheteur extraira une à une les larves vivantes de leur alvéole, avant de les faire frire au wok.

MONTÉE DU COURS DES LARVES D’ABEILLE

"Les conditions économiques sont dures pour les habitants de la région, tous ne peuvent pas acheter du boeuf. Même élever un porc nécessite de le nourrir et de patienter pendant deux ans, c’est long et, à leur échelle, onéreux", explique Guo Yunjiao, professeur de biologie à l’institut de recherche sur les insectes de l’université locale. Dans les villages de la région, cet expert explique aux habitants comment développer durablement une exploitation d’insectes, ce qui nécessite des compétences techniques précises. Ici, la méthode la plus répandue consiste à brûler le nid de guêpes, quitte à tuer la reine. M. Guo se rend dans les villages pour enseigner l’enfumage.

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http://www.lemonde.fr/planete/artic…

Et un an plus tard en 2013, après que l’entreprise de Li Jin de la Chine ait déposé ses brevets sur les insectes, l’ONU lance son programme de consommation d’insectes pour la population mondiale.

Aussi se réjouit-il d’accueillir jusqu’à samedi plus de 450 chercheurs, universitaires, entrepreneurs privés, délégués d’organisations internationales et de gouvernements de plus de 45 pays, des États-Unis à la Chine ou l’Afrique du Sud, avec l’Organisation des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO) qui a officiellement recommandé la consommation d’insectes dans un rapport en mai 2013.

"Les insectes représentent une opportunité énorme et un gigantesque marché" juge le Pr Van Huis joint mardi par l’AFP. "La conférence va s’intéresser aussi bien à l’alimentation humaine qu’animale" précise-t-il, en admettant que beaucoup reste à faire pour autoriser la production à grande échelle et le commerce des insectes.

http://www.sciencesetavenir.fr/natu…

On commence déjà à nous habituer aux insectes dans la nourriture en les mettant dans la consommation à l’insu du consommateur pour dire voyez vous avez déjà réussi à manger X insectes maintenant, vous savez que vous pouvez le faire et remplacer la viande par les insectes :

"La question à se poser devrait vraiment être : pourquoi ne pas manger d’insectes ?", estime Marcel Dicke en citant une étude selon laquelle chacun mange, à son insu, en moyenne 500 grammes d’insectes par an, dissimulés dans de la confiture de framboises ou du pain par exemple. Environ 500 variétés d’insectes sont consommées au Mexique, 250 en Afrique et 180 en Chine, où ils sont souvent considérés comme des mets très délicats.

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D’habitude très stricte sur les lois concernant l’hygiène, le gouvernement Français laisse l’entomophagie libre :

« Alexis Chambon nourrit "ses bébêtes" qu’il commercialise avec les salades de son jardin. Pour développer cette industrie, il faut que les gouvernements créent des statuts économiques pour les entomophages (consommation d’insectes)… »

« Les normes autorisent 75 fragments d’insectes dans 50 g de farine mais les champions au niveau de la quantité d’insectes sont les fines herbes. Le thym moulu contient entre 28 000 et 37 000 parties d’insectes par kg. Un individu ingurgite donc à son insu en moyenne 500g d’insectes par an dissimulé dans toutes sortes d’aliments du quotidien. Cela représente 31 500 tonnes d’insectes consommés en France par an ! »

tous les insectes ne sont pas comestibles et certains peuvent être à l’origine de troubles sanitaires, surtout lorsqu’ils sont consommés crus. Les orthoptères, par exemple, peuvent transmettre des vers à l’homme.

Il est donc préférable de les consommer après cuisson. De plus, les insectes peuvent provoquer des allergies.

Il faut savoir qu’ il existe plus de 1400 insectes comestibles dans le monde sur plus de 3 millions d’espèces recensées.

Les plus connus appartiennent aux familles des scarabées, papillons, termites, sauterelles, grillons, cigales et criquets.

L’éleveur ou le consommateur doivent se méfier particulièrement des larves poilues.

Les insectes peuvent être à l’origine de certains troubles sanitaires. Pour éviter cela, les insectes doivent toujours être transportés dans des bacs de congélation.

http://entomophagietpe.blogspot.fr/…

Les insectes s’invitent dans les cantines scolaires

« Alexis Chambon pense que pour faire évoluer les mentalités, il faut s’y prendre dés le plus jeune âge. En effet, les enfants de maintenant sont les consommateurs de demain… C’est pourquoi il ne fait parcourt le pays et fais découvrir l’entomophagie dans les écoles primaires.

Il faut convaincre les enfants que les insectes sont bons pour la santé puis les laisser gouter pour leur monter que c’est bon. En effet, les premières réactions sont très positives : "C’est bon, on dirait des popcorns !!!". Tous les enfants finissent par goûter. Seul les enseignantes se sont éloignées pour échapper à la dégustation.

Cela montre bien que les enfants ont moins de préjugés que les adultes. Il est conseillé de prendre exemple sur les plus jeunes, ne pas trop regarder ce que l’on mange. »

http://entomophagietpe.blogspot.fr/…

Des insectes dans les assiettes de la cantine à Thionville Soucieuse de l’équilibre diététique des repas servis aux enfants, la Ville de Thionville va introduire, tous les vendredis, des insectes dans les menus de la cantine.

http://www.republicain-lorrain.fr/m…

En Charente-Maritime, le chef de la cantine d’un collège, Cyril Cluzan, s’est permis quelques innovations. Les collégiens ont pu goûter en entrée une assiette de grillons et des vers de soie aromatisés au thym. Si certains trouvent cela "bizarre", d’autres ont apprécié les petits insectes "au goût de chips". Les insectes sont une grande source de protéines et pourraient dans les années à venir, s’inviter dans toutes les assiettes. En attendant, le but du chef de la cantine scolaire est simple : éveiller les papilles gustatives des adolescents

http://lci.tf1.fr/jt-we/videos/2016…

Vers et chenilles à la cantine : Le patron de Sodexo Education attendu à Marseille ce mardi

http://www.20minutes.fr/societe/127…

"Sur son site, Romain Fessard propose des sucettes aux scorpions, des barres de céréales aux insectes, et plus d’une quarantaine d’espèces :

punaises géantes, chenilles d’Afrique, criquets mais aussi des scorpions, qui font fureur en Chine paraît-il.

Des recettes sont également postées comme les "Raviolis de criquets et grillons comestibles", les "brochettes de criquets" et en dessert un "brownie aux vers".

En savoir plus sur http://www.jolpress.com/insectes-ma…

L’entreprise toulousaine Micronutris est devenue le leader européen de l’alimentation humaine à base d’insectes. Son PDG fondateur, Cédric Auriol a déjà conquis les professionnels de la restauration et se tourne aujourd’hui directement vers les consommateurs et donc vers la grande distribution pour proposer des produits de plus en plus variés. « Ces derniers mois ont été marqué par le lancement sur le marché de produits grand public à base de poudre d’insectes dont des pâtes aux insectes ou encore une barre énergétique.

Notre développement se réalise aussi à l’international avec la signature de partenariats en Chine et en Amérique du Nord pour la commercialisation de nos produits » détaille le chef d’entreprise qui emploie aujourd’hui 12 personnes et qui a réalisé en 2015 près de 100 000 euros de chiffre d’affaires

http://www.ladepeche.fr/article/201…

En France, à Toulouse, l’entreprise Micronutris a fait le pari de se lancer dans la production et la commercialisation d’insectes. Un aliment dont l’intérêt croissant repose sur une importante valeur nutritive et un faible impact sur l’environnement. Cédric Auriol, 30 ans, est le gérant de Micronutris.

http://www.lyoncapitale.fr/Journal/…

« La nourriture du futur pourrait être constituée d’aliments modifiés par les nouvelles technologies ou d’insectes. »

http://www.masculin.com/high-tech/9…

D’après l’Organisation des Nations-Unies pour l’alimentation et l’agriculture, les insectes seraient même une solution sérieuse pour lutter contre la faim dans le monde.

http://www.lagazettedemontpellier.f…

Sous l’impulsion de l’ONU, certains pays occidentaux se lancent dans l’élevage d’insectes à destination de l’alimentation humaine.

Au Pays-Bas, des producteurs d’insectes se sont réunis en association et produisent des dizaines de tonnes de vers de farine pour l’alimentation animale mais aussi l’alimentation humaine.

En France, quelques élevages industriels et locaux voient le jour. Pour la France, les éleveurs et futurs éleveurs d’insectes se sont réunis en fédération : la FFPIDI (Fédération Française des Producteurs et Importateurs d’Insectes comestibles.

http://www.insectescomestibles.fr/c…

L’organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a lancé lundi 13 mai un programme pour inciter à l’élevage et à la consommation d’insectes, très nutritifs, écologiques et délicieusement bons - paraît-il. En France, Romain Fessard à l’origine de la première boutique en ligne d’insectes, nous en dit plus sur l’élevage de ces petites bêtes.

En savoir plus sur http://www.jolpress.com/insectes-ma…

L’OMS dirigé par Magaret Chan de la Chine a déjà accordé l’herbicide de Monsanto :

PESTICIDE – Une nouvelle étude menée par l’OMS et la FAO estime "improbable" que l’herbicide de Monsanto "constitue un risque cancérogène pour l’homme".

http://www.metronews.fr/info/round-…

Depuis quelques années, l’élevage d’insectes se développe en France. Romain Fessard est le premier à avoir lancé sa boutique en ligne, "Insectes comestibles", en septembre 2009. C’est lors de ses voyages à l’étranger qu’il découvre l’utilisation des insectes dans l’alimentation et décide, à son retour, de se lancer dans le commerce de ces petits animaux.

Son collaborateur s’installe en Thaïlande - où la consommation d’insecte est la plus courante - à la recherche de scarabées, papillons, et vers en tout genre avant de les envoyer en France.

Le paradis des arthropodes

Sur son site, Romain Fessard propose des sucettes aux scorpions, des barres de céréales aux insectes, et plus d’une quarantaine d’espèces :

punaises géantes, chenilles d’Afrique, criquets mais aussi des scorpions, qui font fureur en Chine paraît-il.

Des recettes sont également postées comme les "Raviolis de criquets et grillons comestibles", les "brochettes de criquets" et en dessert un "brownie aux vers".

En savoir plus sur http://www.jolpress.com/insectes-ma…

Le président du FAO (l’organisation des nations unis pour l’alimentation et l’agriculture) est le brésilien José Graziano da Silva https://fr.wikipedia.org/wiki/Organ…

la FAO a été créé en 1944 siège à Rome en Italie et l’ONUDI en 1965 siège à Vienne en Autriche http://www.solocontabilidad.com/o/o…

l’OMS a été créé en 1948 et son siège est à Genève en Suisse. https://fr.wikipedia.org/wiki/Organ…

Coincidence que le Brésil soit le premier pays à tester les moustiques génétiquement modifiés d’Oxitec.

« Quand Anvisa aura donné le feu vert, le Brésil sera le premier pays à approuver l’utilisation de l’Aedes aegypti transgénique pour combattre la dengue. »

http://www.rtl.fr/actu/internationa…

En 2016, l’OMS oblige les états à accepter les moustiques génétiquement modifiés d’Oxitec cette fois-ci contre le virus Zika.

sources https://en.wikipedia.org/wiki/Oxitec http://www.genewatch.org/uploads/f0…

Bon, le BRICS mené par la Chine et le Brésil ne servent pas à protéger contre les Etats-Unis. Ils sont trop fans d’insectes.

Oxitec britannique le promoteur d’insectes génétiquement modifiés et acheté par Intrexon l’américain investi par Syngenta de la Chine a encore de beaux jours devant lui.

la FDA (Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux) est chargé de l’autorisation des moustiques OGM et elle a dit que les moustiques OGMs n’étaient pas dangereux. http://www.popsci.com/fda-opens-pub…

La FDA a autorisé Oxitec à relâcher à nouveau des moustiques génétiquement modifiés cette fois ci contre le virus ZIKA en Floride.

http://www.oxitec.com/fda-prelimina…

En 2015, c’était les moustiques génétiquement modifiés spécialisés contre la dengue qui avaient été relâchés en Floride à partir d’un laboratoire à la ville de Marathon.

http://www.theatlantic.com/health/a…

Parmi les employés d’Oxitec qui sont des anciens employés de Syngenta qui ont rejoint Oxitec en 2006, il y a :

  • le PDG de Oxitec, Affaires Réglementaires et chef de l’entreprise Le président de Development.
  • 23 membres d’Oxitec

– et l’un de ses autres membres du conseil d’administration sont également un employé d’ex-Syngenta

  • les consultants Oxitec comprennent Colin Ruscoe, ancien directeur du site de Syngenta Crop Protection, qui est président du British Crop Production ancien chef de Council.

– 24 membres d’Oxitec du développement des affaires (de 2006 à 2010), Ann Kramer, est un autre ex-Syngenta employé. Kramer a évolué la stratégie de Oxitec de se concentrer sur la santé publique et pour entrer au Brésil et négociations menées de l’entreprise avec le government.

De Mars 2009 à Juin 2011, Oxitec a reçu des fonds de recherche directement à partir de Syngenta pour la transformation génétique de lépidoptères (un grand ordre d’insectes qui comprend les mites et les papillons) L’intérêt de Syngenta dans l’entreprise Oxitec apparaît à ce jour d’environ 26%

En 2006, Oxitec a développé une méthode pour les insectes d’ingénierie génétique »

source en anglais http://www.genewatch.org/uploads/f0…

Mise à jour. La page http://www.genewatch.org/uploads/f0… a été supprimée !

La relation économique entre Syngenta et Oxitec est vraiment très secrète !

Question d’un citoyen suisse à Syngenta :

"Il est frappant de constater que les postes les plus importants (exécutifs) au sein de l’entreprise Oxitec sont occupés principalement par d’anciens employés de Syngenta. Et de Mars 2009 à Juin 2011, la petite entreprise Oxitec a reçu des fonds de recherche de Syngenta.

Néanmoins, je ne pouvais pas trouver de l’information à cet égard dans l’un des dernier rapport annuel de Syngenta.

Par conséquent, permettez-moi de vous poser la question suivante, et j’espère recevoir bientôt plus d’information possible de vous :

• Quelles sont les parts d’actions que la société Syngenta détient sur l’entreprise Oxitec ?

• Y a-t-il une collaboration entre Syngenta et Oxitec et si oui, comment faut-il la regarder ?

• Syngenta , allez vous commercialiser des insectes génétiquement modifiés ? Peut-être en partenariat avec Oxitec ? Si oui, quels insectes GM vont être libérés et commercialisés ? Quel est le laps de temps pour tous les plans possibles ?

• Si Syngenta ne va pas commercialiser les insectes génétiquement modifiés, pourquoi Syngenta finance la recherche de l’entreprise Oxitec sur les insectes génétiquement modifiés ?

• Est-ce que Syngenta a déjà participé à l’élaboration de la réglementation légale pour la libération des insectes génétiquement modifiés ? Dans quel pays ou à quel niveau international ? Source en allemand

https://www.swissaid.ch/de/rede-an-…

Bill Gates aussi investit dans Oxitec :

« Des essais controversés ont eu lieu aux îles Cayman, puis en Malaisie et au Mexique, menés par la firme Oxitec (en) en partenariat avec la Fondation Bill Gates, avec comme objectif de réduire la prévalence de la dengue. L’Union européenne finance un projet de recherche sur le sujet, Infravec, auquel participe Oxitec[3].

Pour combattre la dengue, le gouvernement Brésilien a décidé en 2012 de produire 4 millions de moustiques mâles transgéniques par semaine qui seront lâchés dans la nature. »

https://fr.wikipedia.org/wiki/Insec…

Les asticots OGM d’Oxitec débarquent dans l’Union européenne

http://www.infogm.org/5701-les-asti…

Les papillons OGM d’Oxitec pour les choux et le colza

http://www.infogm.org/5732-etats-un…

Si les insectes sont remplis de protéines, ils comportent malgré tout quelques dangers. Selon un avis publié ce jeudi par l’Agence nationale de sécurité de l’alimentation (Anses), les risques d’allergie liés à l’entomophagie pourraient être assez importants.

Les amateurs d’insectes doivent ainsi faire attention aux possibles substances chimiques présentes dans le corps de l’animal, par exemple le venin, les pesticides ou encore les médicaments vétérinaires utilisés dans les élevages. Ils doivent aussi se méfier des parties dures telles le dard ou encore le rostre.

L’agence sanitaire rappelle également que les insectes ingérés peuvent aussi être porteurs de parasites, virus, champignons et autres bactéries. Autre danger mis en lumière : le risque d’allergie.

Selon l’avis publié, l’éventuelle généralisation des insectes dans nos assiettes pourrait bien faire apparaître de nouvelles allergies alimentaires. Certains insectes comme les criquets et les sauterelles font partie de la famille des arthropodes, soit celle des animaux invertébrés. Ils sont donc porteurs des mêmes allergènes que les acariens, les crustacés ou encore les mollusques.

Pour l’instant l’Anses rappelle qu’il y a peu d’études sur le sujet. L’agence souligne le besoin complémentaires d’informations pour mener une évaluation complète des risques sanitaires liés à la consommation d’insectes et leur élevage.

Aujourd’hui, plus de 1.900 espèces d’insectes sont comestibles et près de deux milliards d’êtres humains consomment déjà ces petites bestioles, principalement en Afrique, en Amérique latine et en Asie, où ils sont mangés à toutes les sauces.

http://www.francesoir.fr/societe-sa…

En 2050, il faudra nourrir 9 milliards d’êtres humains sur la planète. Pour faire face à ce défi, l’ONU propose de remplacer la viande et le poisson par… des insectes

http://www.1jour1actu.com/insolite/…

Selon des données disponibles, les insectes consommés le plus couramment sont les coléoptères (Coleoptera) (31 pour cent), les chenilles (Lepidoptera) (18 pour cent), les abeilles, les guêpes et les fourmis (Hymenoptera) (14 pour cent). Viennent ensuite les sauterelles, les criquets et les grillons (Orthoptera) (13 pour cent), les cigales, les chrysomèles et les cicadelles, les cochenilles et les hémiptères (Hemiptera) (10 pour cent), les termites (Isoptera)(3 pour cent), les libellules (Odonata) (3 pour cent), les mouches (Diptera) (2 pour cent) et autres catégories (5 pour cent).

Les insectes qui détiennent le potentiel majeur pour la production alimentaire animale à grande échelle, sont les larves de la mouche soldat noire, de la mouche domestique commune et du ténébrion meunier – d’autres espèces d’insectes étant également étudiées à cet effet.

Des producteurs en Chine, Afrique du Sud, Espagne et aux États-Unis élèvent déjà des quantités importantes de mouches pour l’aquaculture et l’alimentation de la volaille par la bioconversion des déchets organiques. Les insectes peuvent se nourrir de déchets organiques, tels que les déchets alimentaires et humains, de compost et de lisier et peuvent transformer tout cela en protéines de haute qualité qui peuvent être utilisées pour l’alimentation du bétail.

• Les insectes utilisent beaucoup moins d’eau que l’élevage de bétail conventionnel.

http://www.fao.org/docrep/018/i3264…

D’ici 2030, plus de 9 milliards de personnes devront être nourries dans le monde, selon l’organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Pour éviter une catastrophe alimentaire, l’ONU recommande d’élever et de consommer des insectes comestibles. Cette pratique, appelée "entomophagie", concernerait déjà 2,5 milliards de personnes en Asie, Afrique et Amérique latine. Riches en protéines, les insectes, "présentent des taux de croissance et de conversion alimentaire élevés et ont un faible impact sur l’environnement pendant tout leur cycle de vie", explique la FAO. 

Une alternative alimentaire 

Depuis quelques années, l’élevage d’insectes se développe dans l’Hexagone. Romain Fessard est le premier à avoir lancé sa boutique en ligne, "Insectes comestibles", en septembre 2009. C’est lors de ses voyages à l’étranger qu’il découvre l’utilisation des insectes dans l’alimentation et décide, à son retour, de se lancer dans le commerce de ces petits animaux. Son collaborateur s’installe en Thaïlande - où la consommation d’insecte est la plus courante - à la recherche de scarabées, papillons, et vers en tout genre avant de les envoyer en France. Le paradis des arthropodes

Sur son site, Romain Fessard propose des sucettes aux scorpions, des barres de céréales aux insectes, et plus d’une quarantaine d’espèces : punaises géantes, chenilles d’Afrique, criquets mais aussi des scorpions, qui font fureur en Chine paraît-il. Des recettes sont également postées comme les "Raviolis de criquets et grillons comestibles", les "brochettes de criquets" et en dessert un "brownie aux vers".

En savoir plus sur http://www.jolpress.com/insectes-ma…

"Le restaurant thaïlandais Ban Thaï, dans le quartier des Beaux-Arts à Montpellier, en propose déjà sur sa carte (lire ci-contre) et deux Montpelliérains développent actuellement leur entreprise de commerce alimentaire, M & B Taste, autour de l’importation d’insectes afin de les vendre dans nos restaurants et directement aux particuliers.

Élevage industriel

"Les insectes ont de nombreux avantages, explique Bastien Mengardon, directeur de M & B Taste. L’avantage est nutritif, ils sont très protéinés, plus que la viande, mais c’est aussi un avantage économique et écologique, puisqu’un élevage d’insectes coûte moins cher et consomme moins de végétaux."

L’intérêt économique est pourtant indéniable.

Pour produire un kilo de viande bovine, 9 kg de végétaux sont nécessaires contre seulement 2,5 kg pour des insectes.

Même si le steak de grillon ne devrait pas remplacer de si tôt le steak de bœuf, de nombreux industriels mènent déjà des études pour élaborer des pâtées pour chiens et chats à base d’insectes. "Ce n’est pas une mauvaise idée, reconnaît Henri- Pierre Aberlenc. L’impact écologique est moins important."

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Selon une équipe de chercheurs néerlandais, les insectes finiront par remplacer la viande dans nos assiettes, en tant que source de protéine meilleure pour la santé et l’environnement.

"Le jour viendra où un Big Mac coûtera 120 euros et un Bug Mac 12 euros [bug signifie insecte en anglais], où les gens qui mangent des insectes seront plus nombreux que ceux qui mangent de la viande", a prédit l’entomologiste Arnold van Huis, au cours d’une conférence à l’université de Wageningen (Pays-Bas) où il présentait les derniers résultats de leurs recherches.

Mais Marcel Dicke, le chef du département d’entomologie de l’université de Wageningen, sait qu’il faudra davantage qu’un ver enfoui dans un chocolat pour changer la mentalité occidentale. "Le problème est là. Les gens croient que c’est sale", explique-t-il devant une exposition de moucherons, guêpes, termites et coccinelles, quelques-unes des 1 400 espèces d’insectes comestibles. "Nous devons manger moins de viande ou trouver une alternative", assure le chercheur qui affirme manger régulièrement des insectes en famille.

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Selon l’agence de l’ONU pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), la planète comptera 9 milliards d’habitants en 2050 alors que la superficie des terres agricoles a déjà commencé à diminuer. Avec dix kilos de végétaux, on produit six à huit kilos d’insectes, contre un kilo de viande seulement.

"La question à se poser devrait vraiment être : pourquoi ne pas manger d’insectes ?", estime Marcel Dicke en citant une étude selon laquelle chacun mange, à son insu, en moyenne 500 grammes d’insectes par an, dissimulés dans de la confiture de framboises ou du pain par exemple. Environ 500 variétés d’insectes sont consommées au Mexique, 250 en Afrique et 180 en Chine, où ils sont souvent considérés comme des mets très délicats.

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"Il existe un rejet dans l’inconscient collectif, constate Romain Garrouste, entomologiste au Muséum national d’histoire naturelle. Insectes et araignées sont perçus comme sales, grouillants, vecteurs de maladies, destructeurs de récoltes." Cela bien que beaucoup soient utiles (pour la pollinisation ou la fertilisation des sols) et constituent un élément-clé de notre écosystème.

Après avoir étudié le TOP 15 des aliments les plus repoussants, nous avons observé que le nombre d’insectes est important :

  • 14e position : larves d’abeilles
  • 12e position : chapulines
  • 6e position : araignée géantes grillées
  • 5e position : scorpions frits
  • 3e position : asticots (larves de mouches)
  • 2e position : des vers
  • 1er position : des larves

Ce classement prouve effectivement que les européens ont un obstacle psychologique important face aux insectes…

D’ailleurs, la question de l’entomophagie va rapidement se transformer en obligation car le prix de la viande risque de doubler. Autant dire que la plupart des foyers n’aura plus les moyens d’acheter un poulet rôti, bientôt considéré comme un produit de luxe. Le problème sera donc le manque de protéines pour ceux qui refusent les insectes. Mais nul doute que ce produit rentrera rapidement dans notre gastronomie…

Cédric Auriol crée cette start-up à partir du constat : « En 2050, il y aura 9 milliards d’habitants. La demande en protéines animales va doubler… mais pas la surface agricole ", affirme-t-il.

Les analyses des nutritionnistes sur les qualités des insectes riches en protéines, vitamines et minéraux, ainsi que la promotion de ce nouveau mode d’alimentation par la Food and Agriculture Organization (FAO) et l’Union européenne, l’ont conforté dans son projet.

« Avec 10 kilos de végétaux, on en produit un seul de viande bovine, mais on peut aller jusqu’à 9 kilos d’insectes », démontre Cédric Auriol, ajoutant qu’un « élevage d’insectes rejette entre 10 et 100 fois moins de gaz à effet de serre que les élevages classiques ".

S’inscrivant dans une démarche durable, Micronutris maîtrise le cycle de production, nourrit exclusivement ses insectes avec des aliments végétaux certifiés AB provenant à 80 % de l’agriculture locale et travaille à la valorisation de leurs excréments en engrais.

Pour relever son pari, la société doit réussir à produire 15 tonnes d’insectes en 2013 et à les transformer en ingrédients alimentaires.

Soutenu par l’agence régionale Midi-Pyrénées Innovation, qui a financé 80 % des 10.000 euros du programme de R&D, Micronutris a déjà mis au point la poudre d’insectes, élément essentiel de la fameuse barre énergétique composée de fruits secs et céréales. Reste à en donner le goût aux Français !

En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/15/03/2013/L…

Défendons notre bifteck avant qu’on nous le supprime ! (vidéo) :

http://mai68.org/spip/spip.php?article1380

Nourrir les esclaves avec du riz et des nouilles revient bien moins cher que les nourrir avec de la viande !

Nos maîtres veulent nous supprimer le bifteck ! En effet, une propagande insistante sur le long terme veut sans arrêt qu’on arrête de manger de la viande pour réduire le coût d’entretien du troupeau nommé "Peuple de France".

Tous les moyens sont bon pour justifier qu’on arrête de manger de la viande… ces pauvres bêtes, etc. Parmi tous ces abrutis qui nous parlent des bêtes et qui ne savent pas faire la différence entre un animal et un être humain, et qui n’ont de cesse de chercher à nous écoeurer en nous parlant de la maltraitance des animaux dans les laboratoires, dans les films, dans les cirques ou dans les abattoirs, parmi tous ces crétins qui comparent un abattoir à un camp d’extermination pour juifs, combien y en a-t-il pour prendre la défense des ouvriers exploités par les patrons ? Aucun ! normal, tous ces cons sont financés justement par les patrons dans le but de faire en sorte qu’on accepte de ne plus se nourrir qu’avec du riz et des nouilles !

« Moi, je défends mon bifteck ! »

Comme disait mon papa quand il faisait grève !

Cliquer ici pour la vidéo de propagande, la critique et les commentaires

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