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Hollande s’est retiré de la présidentielle parce que les services secrets ne pouvaient plus commanditer de terrorisme massif

dimanche 2 juillet 2017, par do (Date de rédaction antérieure : 4 décembre 2016).

Salut à toutes et à tous,

Pour qu’Hollande puisse redevenir candidat à la présidentielle et être élu, il aurait fallu que les services secrets organisent un attentat terroriste pile avant qu’il se déclare candidat afin de remonter sa côte de popularité et qu’il gagne ainsi les primaires.

Et pour qu’Hollande gagne les présidentielles, il aurait fallu un nouvel attentat terroriste juste avant les élections ; mais alors là, un attentat énorme !

Cependant, si les attentats des 7 janvier et 13 novembre 2015, à Charlie hebdo et au Bataclan, avaient chacun fait remonter la popularité de Hollande à un très haut niveau ; par contre, celui du 14 juillet 2016 à Nice n’avait fait augmenter sa popularité que de 3% et surtout dans les sympathisants de gauche. Autrement dit rien du tout !

Donc, il était à la fois dangereux pour le pouvoir, et probablement inutile, de refaire dans le terrorisme afin d’assurer qu’Hollande gagne la primaire de gauche et ensuite la présidentielle. C’était dangereux parce que de plus en plus de monde a compris le truc. Et, probablement que des sondages secrets sont venus confirmer que des attentats pour sauver le soldat Hollande ne fonctionneraient pas. La manipulation du terrorisme par l’État s’est usée à force d’avoir servi.

Cependant, il est à noter qu’un attentat juste avant qu’Hollande se présente à la primaire avait bel et bien été prévu, mais a été annulé au dernier moment. Ainsi, les pions manipulés par les services secrets qui auraient été présentés dans le spectacle comme étant des "terroristes" ont été arrêtés.

Si les sondages secrets avaient conclu à un succès très probable de la stratégie de la manipulation du terrorisme pour reconduire Hollande à la tête de la France, alors ces terroristes n’auraient jamais été arrêtés juste avant qu’ils ne commettent leur attentat. Mais les sondages secrets ont prévu l’échec et le danger d’une telle stratégie ; aussi, tout a été annulé et il a été décidé qu’Hollande ne se présenterait pas.

Bien à vous,
do
4 décembre 2016
http://mai68.org


Rappelons que c’est le 1er décembre 2016 qu’Hollande a renoncé officiellement à se présenter aux Présidentielles 2017, or, justement :

Les suspects de l’attentat déjoué projetaient d’agir le 1/12

http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRKBN13J0V1?sp=true

Jeudi 24 novembre 2016 11h26

PARIS (Reuters) - Les cinq hommes soupçonnés de préparer un attentat en France et interpellés ce week-end à Strasbourg et à Marseille projetaient de passer à l’action le 1er décembre à Paris et en banlieue parisienne, a-t-on appris jeudi de source proche de l’enquête.

L’exploitation d’un smartphone a permis de fournir des précisions sur les cibles potentielles des suspects toujours en garde à vue jeudi matin, selon des sources policières.

Le siège de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine), celui de la police judiciaire au 36 Quai des Orfèvres, le palais de justice, les Champs-Elysées, une médiathèque, une église, le site d’Eurodisney (Val-de-Marne) ou encore la station de métro Charonne figurent notamment sur des captures d’écran Google Maps, ont indiqué ces sources.

Elles n’ont pas précisé quelles cibles auraient pu être retenues pour des attaques probablement simultanées.

La sécurité du siège parisien de la PJ, situé sur l’île de la Cité et qui jouxte le palais de justice, a été renforcée à la suite de ces indications, a-t-on appris d’une source policière syndicale.

La garde à vue des cinq hommes interpellés dans la nuit de samedi à dimanche, quatre à Strasbourg et un à Marseille, a été prolongée mercredi soir de manière dérogatoire au-delà de la limite de 96 heures, a-t-on appris de source judiciaire.

Cette mesure est prévue en cas de menace imminente, a-t-on précisé.

Mardi soir, la garde à vue de deux autres hommes, un Afghan et une seconde personne, arrêtés à Marseille, avait été levée.

Quatre pistolets et un pistolet-mitrailleur ont été saisis lors des perquisitions et un cahier contenant des écrits d’allégeance à l’Etat islamique (EI) a été retrouvé chez l’un des suspects interpellés.

Les cinq hommes, qui sont de nationalités française et marocaine, constituaient, selon la source proche du dossier, une "cellule opérationnelle" liée à une "cellule financière" démantelée en juin dernier en France.

(Service France et Gérard Bon et Chine Labbé, édité par Marine Pennetier)


Les suspects de Strasbourg et Marseille téléguidés par l’EI

http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRKBN13K171?sp=true

Vendredi 25 novembre 2016 23h26

par Gérard Bon

PARIS (Reuters) - Les cinq hommes arrêtés à Strasbourg et Marseille et soupçonnés d’avoir projeté des attentats en France ont été mis en examen et en détention provisoire vendredi, dit-on de source judiciaire.

Selon le procureur de Paris, ils étaient téléguidés à partir de la zone irako-syrienne et des écrits d’allégeance à l’Etat islamique (EI) ont été saisis.

"Des armes et des instructions communes émanant de la zone irako-syrienne pour se procurer des armes ont été découvertes aux domiciles des cinq personnes interpellées", a dit François Molins lors d’un point de presse.

Les cinq hommes, deux Français, un Franco-Tunisien et un Franco-Marocain interpellés à Strasbourg, ainsi qu’un Marocain arrêté à Marseille, recevaient des ordres "via une application cryptée", a-t-il précisé.

"C’est un passage à l’acte imminent qui a pu être évité" grâce aux interpellations du 20 novembre, a ajouté le magistrat, qui a confirmé qu’une action était envisagée le 1er décembre.

Déférés vendredi devant la justice, les cinq ont été mis en examen pour association de malfaiteurs terroriste en vue de la préparation de crimes d’atteinte aux personnes.

Trois d’entre eux (Yassine B., Sami B. et Zacaria M.) ont en outre été mis en examen pour acquisition, détention, transport, offre ou cession illégale d’armes et de munitions de catégorie A et B, en réunion et en relation avec une entreprise terroriste, précise-t-on de source judiciaire.

Un des membres du commando de Strasbourg était animateur dans une école de la capitale alsacienne, un autre manutentionnaire et un troisième travaillait dans une épicerie. Deux ont un casier judiciaire.

Le Marocain interpellé à Marseille venait du Portugal et avait effectué de nombreux voyages en Europe avec de faux papiers, a précisé le procureur de Paris.

Trois pistolets et un pistolet-mitrailleur ont été saisis lors des perquisitions.

UNE ACTION PRÉVUE LE 1ER DÉCEMBRE

Les enquêteurs ont retrouvé plusieurs écrits "très clairs" d’allégeance à l’EI, dont un cahier où sont évoqués sur 12 pages le djihad armé, la mort en martyr et se référant à Abou Bakr al Baghdadi, le chef du groupe djihadiste, a dit François Molins.

L’enquête, qui a duré huit mois, a fait appel à des techniques performantes qui n’avaient jamais été mises en oeuvre jusque-là dans la lutte contre le terrorisme djihadiste.

Le commando de Strasbourg attendait de l’argent et cherchait à se procureur des armes. Le Marocain arrêté à Marseille était en possession de près de 4.300 euros, a précisé le magistrat.

Les enquêteurs de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) ont eu la conviction que les suspects étaient dans une phase de repérage de cibles potentielles grâce à l’exploitation d’un ordinateur et d’un smartphone.

Le siège de la DGSI à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine), celui de la police judiciaire au 36 Quai des Orfèvres, le palais de justice, les Champs-Elysées, une médiathèque, une église, le site d’Eurodisney (Val-de-Marne) ou encore la station de métro Charonne figurent notamment sur des captures d’écran Google Maps, ont précisé des sources policières.

Les enquêteurs n’ont pas pu définir à ce stade quelle était la cible envisagée pour un passage à l’action le 1er décembre, a précisé François Molins. Mais "il y avait une volonté manifeste de passer à l’acte", a-t-il dit.

Deux membres du commando strasbourgeois étaient allés à la frontière syrienne via Chypre en mars 2015 et un troisième avait été refoulé par les autorités turques.

"Il y avait a minima des velléités de rejoindre des groupes djihadistes", a dit François Molins.

Selon une source proche du dossier, la DGSI a fait savoir aux suspects, qui étaient alors sous surveillance, qu’une cache d’armes était disponible dans la région parisienne. Un leurre destiné à les amener à se dévoiler.

(Avec Chine Labbé, édité par Emmanuel Jarry)


Arrestation au Maroc liée aux sept arrêtés en France fin novembre

http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRKBN13S0PO

Samedi 3 décembre 2016 18h30

RABAT (Reuters) - Un homme soupçonné d’avoir agi comme intermédiaire entre des dirigeants de l’Etat islamique et la cellule démantelée par les autorités françaises fin novembre a été arrêté au Maroc, a annoncé samedi le ministère marocain de l’Intérieur.

Sept personnes ont été arrêtés le mois dernier en France, à Strasbourg et à Marseille, dans le cadre d’une enquête de plus de huit mois sur un projet d’attentat en France.

Dans le cadre de la mission qui lui avait été assignée, (le suspect) a rencontré des émissaires de l’Etat islamique à la frontière turco-syrienne où il a reçu des instructions à transmettre au groupe qui a été arrêté sur le territoire français, indique le ministère marocain de l’Intérieur dans un communiqué.

Le suspect devait se rendre en France via l’Allemagne et devait utiliser un faux passeport, précise le ministère.

Aucune précision n’a été donnée à son sujet. Il s’agirait d’un Marocain vivant en Espagne, apprend-on auprès des services de sécurité.

"Quand il a vu que le groupe avait été arrêté en France, il est venu au Maroc en provenance de Turquie et a été arrêté à l’aéroport quand son avion a atterri", explique-t-on sous le sceau de l’anonymat.

Le Maroc estime à 1.500 le nombre de ses ressortissants qui combattent dans les rangs djihadistes en Syrie et en Irak. Quelque 200 ont été mis sous les verrous après être rentrés et 500 environ ont été tués au combat.

(Aziz El Yaakoubi ; Danielle Rouquié pour le service français)

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