Note de do : si Mélenchon refuse de rejoindre l’alliance Hamon-Jadot ; alors, il refusera aussi à la gauche d’être présente au second tour des présidentielles françaises. Il sera responsable de cet échec. Il prouvera aux yeux de tous qu’il n’a pas le sens des responsabilités que doit avoir un chef d’État ; car il imposera à la France cinq ans de réformes Macron ou Fillon. Dans un tel cas, ce sera : « Mélenchon, gros con ! pas de pardon ! »
Hamon "optimiste" sur un accord rapide avec Jadot
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Mardi 21 février 2017 10h29
Benoît Hamon /Photo prise le 18 février 2017/
REUTERS/Rafael Marchante
PARIS (Reuters) - Benoît Hamon s’est dit mardi "confiant et optimiste" pour la conclusion d’un accord avec Yannick Jadot cette semaine en vue de l’élection présidentielle d’avril-mai.
Le candidat socialiste ne s’est en revanche guère montré optimiste sur la possibilité d’un accord avec Jean-Luc Mélenchon, le candidat de La France insoumise.
Interrogé par Europe 1 sur la perspective d’un accord cette semaine avec le candidat Europe Ecologie-Les Verts, Benoît Hamon a répondu : "Je suis confiant et optimiste."
Yannick Jadot, avait auparavant précisé sur France 2 que l’ampleur de la réforme des institutions et la vitesse de la transition énergétique faisaient encore l’objet d’un débat avec Benoît Hamon.
Au journaliste qui lui demandait s’il n’y avait désormais aucune chance qu’il puisse s’allier avec Jean-Luc Mélenchon, Benoît Hamon a répondu : "il y a aujourd’hui, me semble-t-il, une volonté de Jean-Luc Mélenchon d’aller au bout. Je la respecte".
"En tous cas, moi, je travaillerai jusqu’au bout, vis-à-vis de toutes les composantes de la gauche, qu’elles soient politiques, sociales, associatives, à fabriquer le rassemblement", a-t-il ajouté.
(Jean-Baptiste Vey, édité par Yves Clarisse)