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Active Thermitic Material Discovered in Dust from the 9/11 World Trade Center Catastrophe (video)

lundi 27 avril 2009

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Note du 6 décembre 2016 : Les liens ci-dessus étaient les liens initiaux. Ils ont changé. Voici les nouveaux :

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http://benthamopen.com/TOCPJ/VOLUME/2/

http://benthamopen.com/ABSTRACT/TOCPJ-2-7


The Open Chemical Physics Journal

Volume 2
ISSN : 1874-4125

Active Thermitic Material Discovered in Dust from the 9/11 World Trade Center Catastrophe

pp.7-31 (25) Authors : Niels H. Harrit, Jeffrey Farrer, Steven E. Jones, Kevin R. Ryan, Frank M. Legge, Daniel Farnsworth, Gregg Roberts, James R. Gourley, Bradley R. Larsen

doi : 10.2174/1874412500902010007

Download :

http://vlr.chez.com/ag/1634/7TOCPJ.pdf

http://mai68.org/spip/IMG/pdf/7TOCPJ.pdf

Abstract :

We have discovered distinctive red/gray chips in all the samples we have studied of the dust produced by the destruction of the World Trade Center. Examination of four of these samples, collected from separate sites, is reported in this paper. These red/gray chips show marked similarities in all four samples. One sample was collected by a Manhattan resident about ten minutes after the collapse of the second WTC Tower, two the next day, and a fourth about a week later. The properties of these chips were analyzed using optical microscopy, scanning electron microscopy (SEM), X-ray energy dispersive spectroscopy (XEDS), and differential scanning calorimetry (DSC). The red material contains grains approximately 100 nm across which are largely iron oxide, while aluminum is contained in tiny plate-like structures. Separation of components using methyl ethyl ketone demonstrated that elemental aluminum is present. The iron oxide and aluminum are intimately mixed in the red material. When ignited in a DSC device the chips exhibit large but narrow exotherms occurring at approximately 430 °C, far below the normal ignition temperature for conventional thermite. Numerous iron-rich spheres are clearly observed in the residue following the ignition of these peculiar red/gray chips. The red portion of these chips is found to be an unreacted thermitic material and highly energetic.

Keywords : JScanning electron microscopy, X-ray energy dispersive spectroscopy, Differential scanning calorimetry, DSC analysis, World Trade Center, WTC dust, 9/11, Iron-rich microspheres, Thermite, Super-thermite, Energetic nanocomposites, Nano-thermite

Affiliation : Department of Chemistry, University of Copenhagen, Copenhagen, DK-2100, Denmark.

2 Messages de forum

  • Traduction de l’ « Abstract : »

    Résumé :

    Nous avons découvert des fragments particuliers rouge et gris dans tous les échantillons de poussière provenant de la destruction du World Trade Center (WTC) que nous avons étudiés. Quatre de ces échantillons, récoltés sur différents sites, font l’objet de cette étude et dans chacun d’entre eux, ces fragments rouge et gris comportent des similitudes. Un résident de Manhattan a recueilli un échantillon environ 10 minutes après l’effondrement de la seconde tour, deux autres ont été récoltés le lendemain et un quatrième approximativement une semaine plus tard. Les propriétés de ces fragments ont été analysées à l’aide de la microscopie optique, de la microscopie électronique à balayage (MEB), de la spectroscopie de rayons X à dispersion d’énergie (EDS) ainsi que de la calorimétrie différentielle à balayage (DSC). Le matériau rouge contient des grains d’environ 100 nm d’épaisseur, en grande partie composés d’oxyde de fer. Il comprend également de l’aluminium, contenu dans des structures s’apparentant à de toute petites plaques. La séparation des composantes au moyen de méthylacétone a démontré la présence d’aluminium élémentaire. L’oxyde de fer et l’aluminium sont étroitement mélangés dans le matériau rouge. Lorsqu’ils sont enflammés dans un dispositif DSC, les fragments exposés produisent des réactions exothermiques, nombreuses mais faibles, à une température avoisinant 430 °C, ce qui est bien en deçà de la température d’ignition normale de la thermite conventionnelle. Après la combustion, les résidus de ces curieux fragments rouges et gris présentaient clairement de multiples sphères riches en fer. La portion rouge des fragments s’est avérée être un matériau aluminothermique non réagi et hautement énergétique.

  • Traduction de la conclusion de l'article :

    Nous avons découvert des fragments rouges et gris en quantité significative dans la poussière provenant de la destruction du World Trade Center. Nous avons appliqué, entre autres, les méthodes SEM et EDS afin de déterminer la structure et la signature chimique à petite échelle de ces débris, notamment de la composante rouge. Celle-ci est davantage intéressante et comporte les caractéristiques suivantes :

    1. Elle est composée d’aluminium, de fer, d’oxygène, de silicone et de carbone. Des quantités moindres d’éléments potentiellement réactifs sont parfois présents, comme le potassium, le souffre, le plomb le baryum et le cuivre.

    2. Les éléments primordiaux (Al, Fe, O, Si, C) sont tous présents sous la forme de particules à une échelle allant de dizaines à des centaines de nanomètres et la cartographie EDS démontre un fin mélange de ceux-ci.

    3. Lorsque traitée avec du solvant de méthylacétone, une certaine séparation des composantes s’est produite. L’aluminium élémentaire est devenu suffisamment concentré pour être identifié clairement dans la substance avant la combustion.

    4. L’oxyde ferrique apparait sous la forme de grains à facettes d’environ 100 nm d’épaisseur, alors que l’aluminium se présente sous frome de structures ressemblant à des plaquettes. La petite taille des particules d’oxyde de fer permet de qualifier cette substance de « nanothermite » ou « superthermite ».

    5. Une analyse démontre que le rapport fer-oxygène correspond au Fe203. La substance rouge présente dans les quatre échantillons de poussière était similaire sur ce plan. Il y avait de l’oxyde de fer dans le matériau avant la combustion, mais pas de fer élémentaire.

    6. En nous basant sur la présence d’aluminium élémentaire et d’oxyde de fer dans la substance rouge, nous sommes venus à la conclusion que ce matériau contient les ingrédients de la thermite.

    7. La DSC a démontré que le matériau s’enflamme et réagit vigoureusement lorsqu’il atteint 430 °C, avec un dégagement de chaleur plutôt faible correspondant de très près à une observation indépendante sur un échantillon reconnu de superthermite. La basse température d’ignition et la présence de grains d’oxyde de fer de moins de 120 nm confirment qu’il ne s’agit pas de thermite conventionnelle (laquelle s’enflamme à plus de 900 °C), mais fort probablement d’une forme de superthermite.

    8. Après avoir allumé plusieurs fragments rouges et gris dans une DSC à 700 °C, nous avons trouvé de nombreuses sphères riches en fer ainsi que des sphéroïdes dans les résidus. Cela indique qu’une réaction à la température élevée s’était produite, puisque le produit riche en fer a, de toute évidence, dû fondre afin de prendre ces formes. Dans plusieurs de ces sphères, du fer élémentaire a été vérifié car le contenu en fer excédait significativement le contenu en oxygène. Nous concluons qu’une réaction de réduction et d’oxydation à haute température s’est opérée dans les débris chauffés, notamment, une réaction aluminothermique.

    9. Les sphéroïdes produits par les tests de DSC et d’inflammation possèdent une signature EDS (Al, Fe, O, Si, C), appauvrie en carbone et en aluminium comparativement au matériau rouge original. Cette signature chimique correspond remarquablement à celle des sphéroïdes créés par l’inflammation de la thermite commerciale, ainsi qu’à celle des microsphères trouvées dans la poussière du WTC [5].

    10. La teneur en carbone du matériau rouge indique la présence d’une substance organique, que l’on trouve habituellement dans les formules de superthermite. Elle sert à produire de fortes pressions de gaz lors de l’ignition et à rendre les formules explosives. La nature de l’élément organique dans les fragments nécessite des recherches approfondies. Nous soulignons qu’il s’agit probablement aussi d’une substance énergétique, puisque la quantité totale d’énergie libérée dans certains tests DSC excède le maximum reconnu théoriquement dans une réaction aluminothermique conventionnelle.

    Sur la base de ces observations, nous concluons que la couche rouge des fragments rouges et gris découverts dans la poussière du WTC est un matériau aluminothermique actif non réagi constitué de nanotechnologie et qu’il s’agit d’une substance explosive ou pyrotechnique hautement énergétique.

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